La vieillesse qu’on se prépare
Quelques personnes vieillissent vite d’esprit, d’autres demeurent jeunes jusqu’à l’âge le plus avancé.
Les vrais enfants de Dieu restent en quelque sorte enfants tant qu’ils sont ici-bas.
C’est un aspect édifiant que celui d’un vieillard dont le visage porte l’empreinte de la paix céleste et qui loue avec reconnaissance les voies par lesquelles Dieu l’a conduit.
Quoique chacun ignore s’il plaira au Seigneur de lui donner de longues années, il est très salutaire de chercher de bonne heure la paix de Dieu, qui aide si bien à supporter les infirmités de l’âge.
La jeunesse est le temps des semailles ; dans la vieillesse commence la moisson qui se terminera au jugement.
L’apôtre nous en avertit par ces paroles : Ne vous abusez pas ; on ne se joue point de Dieu ; car ce que l’homme sème, il le moissonnera aussi.
Dans ce monde déjà, un grand nombre doivent se convaincre par expérience que celui qui a semé pour la chair, moissonnera de la chair la corruption
Combien d’êtres ont dès leur jeunesse ruiné leur santé par le vice ; combien vieillissent pauvres et malades pour avoir dissipé dans le luxe et l’indolence leurs talents, leurs forces et leur fortune !
D’autres ont fait le malheur de leur famille, et ceux qu’ils ont tourmentés, trompés, entraînés au mal, sont peut-être couchés dans la tombe et les accusent devant leur juge, tandis que les auteurs de ces maux gémissent sous le poids d’une conscience coupable.
Les jours de grâce qu’ils ont laissé perdre, les appels qu’ils ont méprisés pèsent lourdement sur leur cœur ; le mécontentement, le murmure, sont la moisson qu’ils récoltent dans leurs vieux jours ; et bienheureux sont-ils, si, à la onzième heure, ils entendent la voix de Dieu qui les invite à la repentance et qui leur offre jusqu’au bout sa grâce et son pardon.
Message d’un grand père
Tous les jours je demande au Seigneur qu’aucun de mes petits-enfants ne soit absent du grand rendez-vous des élus dans le ciel.
Quel que soit le malheur qui puisse vous atteindre, rien ne pourrait être comparé au fait que l’un de vous n’appartienne pas à Jésus.
Que ce serait affreux si l’un de vous était laissé parce qu’il ne possède pas le salut que Dieu offre gratuitement !
Quel désespoir de ne pas être enlevé par le Seigneur Jésus le jour où il viendra chercher les croyants pour les emmener au ciel !
Il ne peut rien y avoir de plus tragique que de connaître la vérité et d’être resté indifférent.
C’est si facile de venir à Jésus, de lui confesser ses péchés, de se reconnaître perdu et de croire en lui pour avoir la vie éternelle, la paix avec Dieu !
Je supplie donc ceux qui ne seraient pas convertis : Venez à Jésus sans attendre, et recevez-le pour votre Sauveur.
N’écoutez pas la voix qui voudrait vous perdre dans les chemins du monde.
Bientôt la porte de la grâce sera définitivement fermée.
Plus personne ne pourra entrer et ceux qui resteront dehors n’auront devant eux qu’un avenir de malheur sans fin.
Je vous donne rendez-vous à tous, dans la maison glorieuse de notre Père où Jésus a préparé les places de tous ceux qui se confient en lui.
Là nous serons pour toujours avec lui (Jean 14 : 3)
Votre grand-papa
Aux vieillards
C’est le matin de Noël.
Je suis assis près de ma fenêtre, ma Bible sur la table à côté de moi. J’ai fini de lire. Maintenant je réfléchis au merveilleux amour de Dieu.
Je suis dans ma soixante-douzième année.
Mais il y a dans ma famille des cas extraordinaires de longévité ; je puis encore vivre une quinzaine d’années.
Mon grand-père mourut à 95 ans et son père à 103 ans.
Mon père qui appartenait à une famille de 15 enfants, vécut jusqu’à 87 ans et sa plus jeune sœur, qui est encore de ce monde, aura 86 ans dans quelques semaines.
Mes parents, après nous avoir élevés dans une très large aisance, perdirent toute leur fortune dans une crise commerciale.
J’avais 22 ans et je dus quitter la faculté de médecine où j’étais, pour gagner ma vie dans un bureau.
Vous pensez peut-être que je vais raconter combien mon existence a été dure et laborieuse ? Non, je ne dirai qu’une seule chose : que ce qu’on appelle " chance " ou " bonne fortune " n’existe pas. Toutes choses sont ordonnées par Dieu.
J’ai été bien souvent réduit à l’extrême pauvreté, mais chaque fois, dans mon extrémité, Dieu est intervenu.
Aussi ne puis-je assez le remercier de ce qu’Il a ainsi fortifié et justifié ma foi jusqu’à aujourd’hui.
Et maintenant, assis près de la fenêtre en ce matin de Noël, je suis saisi comme tout à nouveau par la fidèle et inconcevable bonté de Dieu.
C’est comme un parfum qui s’élève du passé déjà si lointain.
Si j’avais continué à vivre dans le luxe où j’étais né, me serais-je tourné vers le Sauveur des humbles, comme je l’ai fait ensuite ?
Je crains que non.
En tout cas, je sais que Dieu a agi sagement, comme toujours ; seulement nous ne voulons pas toujours le reconnaître.
Aujourd’hui, cependant, je ne puis m’empêcher d’évoquer les ombres des absents bien-aimés depuis longtemps arrivés au Port éternel.
Ce qui est le plus pénible dans la vieillesse, c’est la solitude.
Mon cher père, ma tendre mère, ma femme chérie, mes frères et sœurs, mes vieux camarades, le seul enfant que j’aie jamais eu, tous ont disparu.
Il ne me reste qu’un ami à peu près de mon âge et avec lequel nous avons été intimes pendant soixante ans.
C’est le seul lien du cœur qui existe encore pour moi sur cette terre.
Mais Dieu n’a pas permis que ma vie soit décolorée.
Il m’a conservé un grand goût pour la lecture et l’étude des sciences naturelles, et c’est ce qui m’intéresse le plus après la Bible.
Je ne m’ennuie donc jamais et quoique infirme depuis treize ans, je n’ai jamais murmuré contre mon sort.
Par-dessus tout, j’ai Dieu. J’ai eu des épreuves si terribles que Lui seul a pu les connaître et les comprendre. Mais je ne veux pas m’y appesantir.
Pourquoi serait-ce le cas, le matin de Noël ?
Je n’y penserai que pour remercier Dieu de ses délivrances.
D’autres ont souffert plus que moi, d’autres moins, mais ce que je sais, c’est que j’avais besoin de la coupe que le divin médecin m’a donnée à boire et je la boirai jusqu’au bout, non seulement avec résignation, mais avec reconnaissance.
Laissez-moi, chers lecteurs, vieillards comme moi, en ce jour de " Paix sur la terre et de bienveillance envers les hommes ", vous engager à avoir foi en l’amour invariable de Dieu, en sa sagesse infinie, et à le remercier du don suprême qu’Il nous a fait d’un tout puissant Rédempteur.
Qu’est-ce qui pourrait désormais vous décourager ?
Et maintenant, je n’ai plus qu’à vous souhaiter le plus heureux des Noëls que vous ayez jamais passés ici-bas et la nouvelle année la plus bénie de toutes.
Un vieillard
Pour ceux qui sont au soir de la vie
Ces doux vieillards qui ont beaucoup appris et beaucoup désappris, qui, ayant bien travaillé autrefois se reposent bien maintenant, qui ont connu toutes les joies et les afflictions d’ici-bas, qui sont devenus indulgents, sympathiques, qui savent se mettre à la place et à la portée de chacun.
Oh ! Quel trésor ! Quelles leçons de morale vaudront leur exemple ?
Quel cours de religion vaudra la vue de leur piété ?
Les enfants surtout ne se passent pas de ces vieillards.
Si nous cherchions bien, chacun de nous trouverait, à l’origine de ses meilleures pensées, l’impression que produisait sur son âme une tête courbée par l’âge, mais illuminée de bonté et de foi….
Qui donc a prétendu que la faculté d’aimer diminuait avec nos forces !
Tout diminue, excepté cela ; l’édifice est détruit, excepté cette colonne.
L’amour chrétien s’élève immuable, au milieu de nos ruines ; il montre où réside en nous le principe d’immortalité ; il porte au ciel, en dépit de la déchéance et de la mort, un témoignage indestructible de vie…
Mais connaissez-vous un spectacle plus navrant que celui-là, l’amertume chez un vieillard ?
Connaissez-vous un état d’âme plus effrayant ?
Comment aimer tant qu’on est amer ? Comment se confier, soit à Dieu, soit aux hommes ?
Les meilleures familles peuvent rencontrer des épreuves de ce genre…
Et pourtant qu’elle est magnifique l’activité bienfaisante des vieillards !
Par leur seule présence, par leur seule tendresse, ils donnent à la famille un enseignement dont rien au monde ne saurait tenir lieu…
De Gasparin
Lettre à un serviteur de Dieu en retraite
C’est avec émotion que nous avons pris connaissance de votre missive qui nous permet de pénétrer quelque peu dans l’expérience nouvelle qui est la vôtre à présent.
Ce n’est jamais d’une façon aisée, comme automatiquement, que l’on passe de la vie active, trépidante, du travail et des voyages, etc.., à celle qui doit s’écouler désormais dans le grand silence du sanctuaire.
Il y a toujours une période de transition plus ou moins longue, plus ou moins douloureuse selon la grandeur du contraste entre les deux modes d’existence.
Le Seigneur le sait ; et Il veut nous accompagner à travers cette " vallée de l’ombre " jusqu’à ce qu’elle nous ait conduits dans la pleine lumière de sa présence.
Pour nous deux ici, cette phase de transition s’est faite très graduellement, tandis que d’années en années nous étions conduits à abandonner l’un après l’autre les travaux matériels de la propriété qui avaient rempli notre vie autrefois.
A mesure que le Seigneur nous enfermait davantage avec Lui, raccourcissant les cordes qui nous lient aux cornes de l’autel (selon la belle image du Psaume 118 : 27), Il nous ouvrait d’autres avenues de service dans le domaine de la correspondance toujours plus abondante, et de l’intercession qui en découle naturellement, nécessairement.
Ainsi malgré la perte graduelle des facultés et l’accroissement des infirmités de l’âge, nous apprenons – quoiqu’encore bien lentement, hélas – à nous réjouir dans toutes ses voies d’amour envers nous, selon Romain 8 : 28.
Ainsi dans sa grâce, Il nous montre que les choses laissées en arrière (réunions, conventions, voyages, etc.) ne sont rien en comparaison de la gloire à venir, ni même des trésors dont nous jouissons présentement dans cette " terre promise " restée si longtemps inexplorée, qu’est la communion intime avec le Père, son Fils Jésus-Christ, dans la puissance du Saint-Esprit, qui demeure en nous, béni soit son Nom !
Et nous prions de tout notre cœur pour les serviteurs de Dieu qui, comme vous, sont au soir de la vie, et qu’Il veut encore bénir et utiliser d’une façon nouvelle, plus efficace encore qu’aux jours de leur service actif.
Et dans la communion avec eux tous, nous pouvons encore chanter, comme au temps de notre adolescence :
" Auprès de Toi la vie est belle,
C’est le bonheur, la liberté,
C’est une jeunesse éternelle,
C’est le Ciel, la félicité ! " Alléluia !
Puissions-nous tous, par la grâce de Dieu, faire cette expérience bénie dans l’attente du retour imminent de notre Seigneur bien-aimé, qui bientôt " transformera le corps de notre humiliation pour le rendre semblable au corps de sa gloire. "
Menorah
A ceux qui sont au soir de la vie en vue du fleuve
J’arrive à cette étape de mon pèlerinage où le dernier fleuve s’offre à ma vue. Je sens qu’à tout instant, de jour ou de nuit, le messager du roi peut se présenter.
J’ai parfois, dans mon sommeil, d’étranges intuitions d’une vie spirituelle intense, près de moi, avec le Christ et les multitudes de ses rachetés.
Et la joie que j’en éprouve n’est pas comme les autres joies.
Aucun langage de la terre ne saurait la traduire.
Ce que je possède donc est pour moi une certitude absolue. Je pressens cette atmosphère où l’enthousiasme de l’amour est la tranquille habitude de l’âme ; où, sans paroles et sans démonstrations extérieures indispensables, les cœurs communient, l’âme répond à l’âme : Nous répondons à l’amour infini et dans sa réponse et la nôtre, il n’est pas besoin de mot d’aucune langue…….
Harriet Beecher Stowe (l’auteur de la Case de l’oncle Tom)
Pour ceux qui pleurent
Emprunté à Talmage, le célèbre prédicateur américain : une description de la réunion des familles dans le ciel.
" Pour moi ", dit-il, dans un de ses sermons, " le ciel n’est rien moins que semblable à l’idée qu’on s’en fait généralement.
Je ne me figure point le ciel comme un lieu de splendeur glaciale, où les élus se promènent gravement, portant sur leurs têtes de brillantes couronnes d’or.
J’aime à me représenter le ciel à l’heure du crépuscule, par exemple.
Votre famille est là, réunie autour du foyer, s’entretenant ensemble.
Soudain, on entend un coup au dehors ; la porte s’ouvre, et l’on voit entrer le frère qui avait été longtemps absent : vous ne l’avez pas plus tôt reconnu que vous courez tous à sa rencontre, et c’est à qui lui fera le plus tendre accueil.
Vous dont le cœur est comme enseveli sous la pierre qui recouvre la dépouille de celui que vous aimez, reprenez courage à la pensée de cette réunion. Oh ! Que de choses vous aurez à vous conter alors !
Souffrances traversées, nuits sans sommeil, larmes versées en silence jusqu’à ce que le cœur fût comme à sec à force de pleurer ; histoire de la chaise vacante et du berceau vide, de ce petit soulier demi usé que nul ne portera désormais ; rêves où vous revoyez l’absent ; où vous élançant vers lui, plein d’ivresse, pour lui souhaiter la bienvenue, vous vous réveillez pour vous trouver seul et désolé !
Se dire tout cela en marchant la main dans la main, à la lumière du ciel, quels délices !
Plus de douleurs, plus de larmes, plus de mort, l’avons-nous bien compris ?
Dans ce ciel où sont nos bien-aimés, dans ce ciel où nous devons être ! "
Pour copie conforme.
P.G.
Un vieillard aveugle
Un vieillard aveugle était mourant.
Sa petite-fille lui lisait le Nouveau Testament.
Elle venait de lui lire ce passage : " Le sang de Jésus son fils nous purifie de tout péché. "
Relis-le encore et mets mon doigt sur le verset, dit le vieillard, et il mourait dans la foi et la paix en répétant : " Le sang de Jésus, le fils de Dieu, nous purifie de tout péché. "
Oui, Jésus est l’unique Sauveur, il a pris sur lui tous nos péchés, il s’est chargé de la malédiction qui pesait sur nous, il a expié tous nos péchés, et à cause de ce sacrifice, la justice divine est satisfaite et Dieu regarde comme juste celui qui se confie en Jésus et le prend pour son Maître.
La vie
La vie a ses instants de délices et de charmes,
Doux rayons d’espérance et de félicité,
Mais elle a ses douleurs, ses tristesses, ses larmes
Et ses longs jours d’obscurité.
Et notre faible cœur de rivage en rivage
Par le flot du destin tour à tour est jeté,
Ici, sous un ciel bleu ; là, dans l’épais nuage
De l’inflexible adversité.
Quand notre frêle esquif fuyant la plage aimée,
Nous entraîne lassés vers des bords inconnus ;
Quand il n’est plus d’étoile au ciel d’or allumée,
Quand les mauvais jours sont venus,
Gémirons-nous encor sur notre destinée
Qui semble le jouet de l’apparent hasard ?
Non ; des flots menaçants notre âme infortunée
Vers Dieu tournera son regard.
Son amour bienveillant préside à notre vie,
Jours riants, jours amers nous poussent vers les cieux,
Et dans la main de Dieu notre peine est suivie
D’un jour paisible et lumineux.
Aussi vers l’avenir avançons-nous tranquilles,
Sans regrets du passé, sans crainte pour demain ;
Nous atteindrons un jour les célestes asiles
Où le ciel est toujours serein.
B.L.I.
La branche dépouillée
J’ai vu l’arbre au printemps dans sa blanche parure,
Rayonnant de fraîcheur, de vie et de beauté,
Je l’ai vu recouvert de sa riche verdure
Aux beaux jours de l’été.
Quand plus tard, je revins, plus de verte feuillée,
Plus de fleurs où l’abeille eût butiné son miel,
Plus rien… Mais à travers la branche dépouillée,
Comme on voyait le ciel !
E.C.
Les heures douloureuses
Si nous sommes affligés, c’est pour votre consolation et pour votre salut. (2 Corinthiens 1 : 6).
Il n’est guère de personnage biblique qui n’ait connu une fois des heures douloureuses.
On ose affirmer que tout chrétien dont le Seigneur se sert a été préparé en partie par la souffrance ; c’est ainsi que sa foi a été non seulement éprouvée, mais aussi perfectionnée.
Je n’irai pas jusqu’à dire que nous devons nous " sentir " heureux.
Nous ne pouvons commander à nos sentiments ; certaines causes exercent leur influence sur nos cœurs.
Mais nous pouvons discipliner nos esprits en nous rappelant que le Sauveur, qui a traversé Lui-même de si épaisses ténèbres, est un fidèle ami ; Il ne nous oubliera pas aux heures sombres.
Si même Il ne semble pas agir en notre faveur, s’Il garde le silence, Il reste entièrement digne de notre confiance.
Schofield
Trois choses simples
Un vieillard disait : " Il m’a fallu 80 ans pour apprendre trois choses pourtant simples :
- La première c’est que nous ne pouvons rien faire pour nous sauver nous-mêmes.
- La seconde, c’est que Dieu le savait et n’attendait rien de nous.
- La troisième, c’est que Jésus-Christ s’est donné entièrement en rançon pour nous sauver de la mort éternelle et qu’ainsi tous ceux qui acceptent Christ comme leur Sauveur doivent se donner eux-mêmes entièrement à lui. "
Quelques conseils aux personnes âgées
Nous sommes à la fin de notre temps sur la terre, nous l’avons parcouru avec des joies et des difficultés.
C’est peut-être le temps de faire le bilan de notre vie : nous avons travaillé, eu une famille, élevé des enfants pour la plupart ; notre temps était compté, il y avait beaucoup à faire.
Maintenant avec l’âge, nous sommes parfois obligés de mettre bien des choses de côté.
Le Créateur nous appelle à le rencontrer, à le voir face à face, que nous le croyions ou pas.
L’âge avancé, c’est le moment de réfléchir, de penser, de méditer sur la grande énigme de la vie, de notre mort qu’elle soit proche ou plus lointaine.
Qu’allons-nous apporter à Dieu : nos maigres aumônes aux pauvres ou nos dons pour la recherche médicale, notre travail, notre petite foi ou nos prières.
Dirons-nous comme certains, je n’ai rien fait de mal, j’ai ma conscience pour moi, j’ai pratiqué comme j’ai pu ma religion.
Je crois fermement que cela ne suffit pas.
L’Evangile nous dit que le sang de Jésus, c'est-à-dire son sacrifice à la croix, est le seul moyen d’être en règle avec Dieu.
Etes-vous en règle avec Dieu ?
Votre conscience est-elle en paix avec Dieu ?
Ce sont des questions importantes qui se posent au terme de la vie.
Mon souhait et ma prière, c’est que beaucoup trouvent la paix de l’âme.
Cela est possible : mettez votre confiance et en Dieu le Père et en son Fils Jésus-Christ.
René LAHAYE