Si Jésus venait chez toi

" Si quelqu’un entend ma voix et ouvre sa porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui et lui avec moi. " (Apocalypse, chapitre 3, verset 20).

Si Jésus venait chez toi passé un jour ou deux.

S’il arrivait à l’improviste, je me demande ce que tu ferais.

Oh ! Je sais que tu donnerais ta plus belle chambre à un Hôte honorable.

Que tu lui servirais les mets les plus délicats et que tu lui dirais et redirais ta joie de l’avoir chez toi.

Ton bonheur de Le servir dans ton propre foyer serait sans borne.

Mais, en le voyant arriver, courrais-tu à la porte, au-devant de lui, les bras ouverts pour accueillir ton serviteur céleste ?

Ou devrais-tu changer d’habits avant de le laisser entrer ?

Ou cacher quelque illustré et mettre la Bible sur la table où elle devrait être ou vite éteindre la radio ou la télé, arrêter le tourne-disque, en espérant qu’il n’a pas entendu ?

Regretterais-tu d’avoir lancé un mot trop fort ou trop hâtif ?

Faudrait-il que tu caches ta musique mondaine et que tu la remplaces par quelques recueils de cantiques ?

Pourrais-tu faire entrer Jésus tout de suite ou t’agiterais-tu ?

Si le Sauveur devait passez chez toi un jour ou deux, je me demande si tu continuerais à faire les choses comme tu les fais toujours et à dire les paroles que tu dis d’habitude ?

Ta vie se poursuivrait-elle, jour après jour, comme maintenant ?

Ta conversation quotidienne garderait-elle son rythme habituel ?

Trouverais-tu difficile de rendre grâce à chaque repas ?

Chanterais-tu les chants que tu chantes ou lirais-tu les livres que tu lis ?

Lui ferais-tu part des choses dont ta pensée et ton esprit se nourrissent ?

Lui demanderais-tu de t’accompagner partout où tu as fait le projet d’aller ?

Ou, peut-être changerais-tu tes plans pour un jour ou deux ?

Serais-tu heureux de lui présenter tes amis intimes ?

Ou souhaiterais-tu qu’ils s’abstiennent de venir te voir jusqu’à la fin de sa visite ?

Serais-tu heureux qu’il reste chez toi définitivement, pour toujours ?

Ou pousserais-tu un soupir de soulagement s’il s’en allait enfin ?

Il serait peut-être intéressant de savoir exactement ce que tu ferais si Jésus-Christ en personne venait passer un jour ou deux chez toi.

Tiré de Viens et Vois

Toi qui te dis chrétien, veux-tu prendre l’engagement d’inviter Jésus toujours chez toi ?

Jésus au cirque SARRASANI

La sonnerie de mon téléphone retentit.

" Monsieur le pasteur, le cirque Sarrasani se trouve actuellement sur le territoire de votre paroisse. Une américaine de notre troupe est morte avant-hier, veuillez-vous charger de l’inhumation. "

Le lendemain, à l’heure convenue, je me rends à la chapelle du cimetière.

Un gardien s’approche de moi et me dit : " Savez-vous qu’il s’agit d’une indienne ; la tente où elle logeait à l’intérieur du cirque a pris feu et cette femme a succombé à ses blessures. "

Une indienne !

Était-elle seulement chrétienne ?

Par quels chemins imprévus cette native des steppes de l’Amérique du Nord est-elle venue aboutir ici ?

Mais avant que j’aie eu le temps de mettre de l’ordre parmi toutes les questions qui se pressent dans mon esprit, j’entends au dehors une musique qui s’approche et je me précipite pour voir de quoi il s’agit.

Un tableau bigarré s’offre à moi.

Le cirque au complet s’avance en cortège.

La marche est ouverte par trois harmonies. Derrière celles-ci, le directeur du cirque.

Puis viennent les indiens.

Leur chef est de haute stature. Il est suivi des hommes et des femmes de sa tribu, tous de taille élevée et en grande tenue sous leurs parures de plumes d’aigle.

Puis c’est un défilé interminable : des cosaques et des tartares, des chinois et des japonais, des kabyles du Riff sud-africain et des cowboys des Etats-Unis, des nègres et des danseuses.

Je fus frappé par la présence d’une rangée de jeunes filles en culottes de cheval et bottes à éperons dont le visage était couvert de maquillages et de poudre.

Tout ce monde bavard et bruyant remplit l’étroite chapelle.

Ce fut une belle cohue.

Je vis les jeunes écuyères se jucher sur les banquettes des fenêtres afin de mieux voir de là-haut.

Puis le directeur du cirque me présenta au chef indien.

Etrange spectacle : le pasteur évangélique, dans la tenue qui accompagne ses fonctions, échangeant une poignée de mains avec le chef indien en costume de guerre et couvert de peintures.

Alors c’est avec un certain serrement de cœur que je pense à l’oraison funèbre qu’il me fallait prononcer.

Jamais encore, il ne m’est arrivé d’assister à une cérémonie semblable.

Sans doute serai-je le mieux inspiré de parler un peu du peuple errant, puis du pèlerinage terrestre qu’est notre vie et enfin de l’éternité…

Mais convient-il que je m’y prenne ainsi …

Non sans quelque hésitation, je m’approche du directeur et lui demande si les gens de sa troupe comprennent l’allemand.

" Pas un mot ! me répondit-il en riant – et il ne s’en trouve que quelques-uns parmi eux qui entendent l’anglais.

Il y a là un grand nombre de ressortissants étrangers qui ne parlent que leur langue maternelle.

Je m’entretiens avec eux grâce à un interprète de langue anglaise. Dites n’importe quoi, personne ne comprendra rien quand même. "

Une grande appréhension s’empare de moi.

N’est-ce pas là une chose insensée ?

Eh bien, après tout, je m’adresserai au moins à ceux qui doivent me comprendre, au directeur du cirque et à tel ou tel de mes compatriotes qui n’ont pas franchi depuis longtemps le seuil d’une Eglise.

C’est à eux que j’apporterai mon message d’éternité.

Je lis donc un message de la Bible et prononce quelques phrases.

L’assemblée est terriblement houleuse.

Les écuyères manipulent leurs miroirs, leur rouge à lèvres et leurs poudriers.

Bien sûr qu’on s’ennuie quand on ignore la langue qu’on vous parle.

Alors je dis quelques paroles sur le triste destin de cette indienne morte en terre étrangère.

" O vous qui parcourez sans cesse tous les pays, vous êtes tous privés de votre patrie. C’est pourquoi je voudrais vous dire que, par contre, la patrie éternelle est venue à vous. Car notre âme est dans sa patrie lorsqu’elle est auprès de Jésus. "

Sur ces mots, quelque chose de bien étrange se produisit.

A l’énoncé du nom de Jésus, un mouvement parcourut la foule.

Ce nom-là, tous l’avaient saisi. Le son de ce mot leur fit à tous dresser l’oreille.

Et cela non pas seulement, je m’en rendis compte aussitôt, parce que ce n om leur était connu mais parce qu’il contenait dans ses syllabes une puissance particulière !

Les asiatiques tumultueux se firent tout tranquille.

Les russes me fixèrent de leurs grands yeux.

La voilà mon oraison funèbre, je l’avais trouvée, elle pouvait ne plus se composer, dès à présent, que d’un seul mot : le grand nom de Jésus.

Et j’enchainai ainsi une phrase à l’autre, ne visant qu’à y placer sans cesse ce nom.

A chaque fois qu’ils l’entendaient, les indiens s’inclinaient.

Un grand silence avait peu à peu rempli l’enceinte de la chapelle.

Mes yeux cherchèrent les frivoles écuyères et je vis que miroirs et autres accessoires avaient disparu.

L’une d’elles pleurait et laissait ses larmes se répandre sur son visage.

Une autre appuyait son front dans ses mains, les pensées peut être tournées vers un passé de jeunesse plus innocente et où pour la première fois elle avait entendu prononcer le nom de Jésus.

Or, tandis que je continuais à proclamer ce nom de la sorte et qu’à son ouïe tous ces enfants des parties diverses de la terre faisaient silence, il me semblait un faible reflet de ce qui se produira à la fin des temps lorsque, au nom de Jésus, tout ce qui est dans le ciel, sur la terre et sous la terre fléchira les genoux.

Tiré d’un chant dans le Chaos

Le Christ vivant

Aujourd’hui même, du milieu de tant d’inimitiés et de révoltes contre Dieu et contre le Christ, n’entendez-vous pas retentir, plus haut que toutes les voix ennemies, l’hommage de l’humanité à Jésus de Nazareth ?

Si Jésus nous demandait encore comme à ses premiers disciples : " Que disent les hommes que je suis ? ", nous serions en droit de lui répondre : " ils disent que tu es le plus grand parmi eux, qu’aucun nom n’a remplacé le tien, bien qu’il ait été ballotté depuis tant de siècles de l’insulte à l’adoration.

Les foules, qui connaissent si peu, savent pourtant que nul ne t’a égalé pour les aimer et les relever, si bien que ceux-là mêmes qui veulent les entraîner doivent au moins essayer de couvrir de ta pure mémoire leurs plans aventureux.

Il n’y a pas jusqu’à la haine de tes adversaires qui ne proclame ta puissance, car on ne s’attaque pas à un mort avec cet acharnement.

" S’il était vrai que tu reposes sous la pierre de ton tombeau, il y a longtemps que tu serais retiré de la mêlée des luttes humaines.

Si tu es encore le drapeau de nos contradictions, comme on l’a dit avec raison, c’est que tu es ce qu’il y a de plus vivant dans le monde de la pensée.

Les efforts que l’on doit multiplier pour altérer ta sainte figure, quand on n’ose plus la souffleter, attestent à quel point tu parais redoutable à la philosophie qui ne veut plus de toi parce qu’elle ne veut plus de Dieu.

" Non, ta gloire n’est point morte, ô Christ, et il n’est pas vrai que nous n’ayons plus qu’à baiser ta poussière.

Notre siècle te trouve survivant à tous ceux qui avaient sonné le glas de ta religion.

Il a beau faire, il dit encore par toutes ses voix, aussi bien par celles qui blasphèment que par celles qui t’honorent, que parmi les fils des hommes il n’en est pas de semblable à toi ! "

Ed. de PRESSENSE

Jésus, pain de vie

Je suppose que le pain, cet aliment primordial et " complet " devienne une personne vivante. Nous l’appellerons M. Lepain.

M. Lepain, s’adressant à M. Lhomme, lui dira : Si tu ne me manges, tu ne vivras pas !

Et il en est ainsi…. Notre vie terrestre, la vie de notre pauvre corps, dépend de notre union avec le pain…

Nous mangeons ce pain ; il se transforme en sang et le sang nourrit notre corps, forme les organes…

Oui, de l’intime union du pain avec notre corps dépend notre vie…

Mais cette vie est une vie incomplète ; au bout de quelques heures, elle s’éteint, menace de disparaitre ; nous devons la ranimer en nous unissant de nouveau à M. Lepain, en le mangeant…

Combien tout cela éclaire la parole du Sauveur : " Je suis le pain de vie ..., celui qui me mange a la vie éternelle " (Jean, chapitre 6, verset 35, 48, etc.).

En nous unissant au pain nous obtenons une faible vie de quelques heures.

En nous unissant au Sauveur, nous obtenons la vie éternelle !

Mais comment s’unir au Sauveur, comment le " manger " ?

Comment devenir " branche de Jésus-Christ " (Jean, chapitre 15, verset 1 à 8) ?

Nous nous unissons à Lui de trois manières principales :

1er - Par la prière.

2ème - La méditation de sa parole.

3ème - L’accomplissement de sa volonté, (on pourrait ajouter : et aussi par la participation à la Sainte Cène).

Nous ne prions pas assez !

Le Sauveur, Lui, le Saint, le Juste, passait parfois des nuits entières à la prière (Luc, chapitre 6, verset 12) et nous, quand nous prions 2 ou 5 minutes, nous nous imaginons volontiers que c’est du temps perdu.

Souvenons-nous de ces paroles de saint Paul : " Priez sans cesse ! "

La prière est, on ne saurait trop le répéter, le fil qui nous met en communication avec Dieu, avec Jésus-Christ, la source de toute vie, de toute énergie.

Et nous ne méditons pas assez la Parole de Dieu !

De nos jours on l’étudie surtout pour y trouver des défauts, des contradictions, la dépecer et la disséquer.

Ce n’est pourtant pas un cadavre !

C’est la Parole de vie ! De même que la prière est la respiration de nos âmes, cette divine parole en est la nourriture.

Et enfin, nous pratiquons très peu les commandements du Sauveur… surtout le grand commandement, le commandement nouveau : " Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés. "

Si nous pratiquons réellement ces trois choses, nous sommes unis au Sauveur ; notre vie, notre bonheur augmentent, nous sentons que c’est le commencement de la vie éternelle… Nous vivons en Christ comme le poisson vit dans l’eau.

A. P.

Le roi qui refusait de mourir

L’autre roi

Chaque année, des milliers de touristes viendront dans ce village paisible de Bethléem.

Des touristes, mais aussi des pèlerins.

La plupart d’entre eux ignoreront presque tout du souverain fastueux et, pointant du doigt les ruines d’un fort sur une colline de l’horizon, ils demanderont innocemment : " Qu’est-ce qu’on voit là-bas ? "

A la réponse : " c’est l’Hérodium ", il leur arrivera peut-être même d’ajouter : " Qu’est-ce que l’Hérodium ? "

Car ces pèlerins viendront là pour un autre roi, bien différent d’Hérode, un roi qui s’éloignait de ceux qui voulaient le couronner, un roi qui, plutôt que de condamner à mort ses sujets, donna librement sa vie pour eux, un roi né un an peut-être avant la mort d’Hérode et qui ne dut qu’à l’intervention d’un ange d’échapper au massacre des enfants de Bethléem.

Eh oui ! Hérode, cet enfant que tu croyais mort, c’est lui qui te jugera au dernier jour !

C’est le roi dont les traits respirent et engendrent non la méfiance, la crainte et la suspicion, mais la confiance.

Non la ruse, mais la simplicité ; non la soif du pouvoir, l’orgueil, la vanité ou l’ambition, mais l’humilité et la soumission ; non la cruauté et le vice, mais la douceur, l’amour et la sainteté.

Hérode avait eu recours aux troupes romaines pour occuper le pays.

Ces mêmes troupes aideront les Juifs à crucifier le Bethléhemite.

Comme Hérode, il est vrai, il sera revêtu de pourpre à la veille de sa mort, mais ce sera par dérision.

Pour le conduire vers son lieu d’agonie, il n’y aura point de détachement militaire, mais des soldats qui se partageront sa tunique.

Il n’y aura point d’esclaves, car il s’était fait lui-même l’esclave et le serviteur de tous ; point de pleureurs ; seulement quelques femmes sanglotant en silence.

Le jour de sa mort, Il ne désira la mort de personne, pas même de ses bourreaux ; mais plusieurs morts sortiront de leur tombeau et entreront dans la ville.

Enfin, suprême contraste, tu mourus, Hérode, le 28 mars, jour de Pâque… Lui, l’humble enfant-roi, dont tu voulais la mort, un autre jour de Pâque sortira du tombeau.

Epilogue

Nous pouvons maintenant retrouver Bethléhem.

L’Hérodium est toujours là, en ruine, il est vrai.

On peut en inventorier les vestiges, en toucher les pierres.

De l’enfant-roi par contre, aucun vestige sûr, seules quelques traditions douloureuses ou contradictoires.

Mais personne jamais ne pourra s’y tromper.

C’est Jésus dans son humilité qui a changé le cours de l’histoire et qui, en livrant sa vie volontairement, a posé la base éternelle de la victoire suprême de Dieu.

R. F. DOULIERE (" Certitudes "nov. déc. 1963)

QUE PENSEZ-VOUS DU CHRIST ?

La première fois que cette question fut posée dans le monde, ce fut par Jésus-Christ lui-même.

A ce moment, chacun s’était déjà formé une opinion sur lui.

Comme chacun de nous doit se former la sienne, consultons ceux qui l’ont vu de près :

Toi, Pierre, que dis-tu de ton Maître ?

- Il est le Christ, le Fils du Dieu vivant.

Et toi, Jean, le disciple bien-aimé ?

- Jésus-Christ est le Fils de Dieu. En lui est la vie, et la vie est la lumière des hommes.

Et toi, Thomas ?

- Mon Seigneur et mon Dieu !

Paul, toi, qui l’as persécuté, quel est ton témoignage ?

- Je me suis privé de toutes ces choses et je les regarde comme des ordures, pourvu que je gagne Christ.

Et toi, Jean-Baptiste, dis-nous ce que tu penses de lui ?

- Il est l’agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. C’est lui qui baptise du Saint-Esprit.

Peut-être que ces hommes ne sont pas impartiaux ; ils ont été jusqu’au martyre pour l’amour de leur Maître ; interrogeons-en d’autres.

Toi, Pilate, qui as eu le dossier de l’accusation entre tes mains et qui l’as livré pour être crucifié, dis-nous ce que tu penses de lui.

- Je ne trouve aucun crime de cet homme.

Et bien ! toi, Judas, qui as vécu pendant trois ans dans son intimité et qui l’as trahi pour 80 francs, que dis-tu de lui ?

- J’ai péché en trahissant le sang innocent !

Et vous, capitaine et soldats romains qui l’avez conduit au supplice, qu’avez-vous à dire contre lui ?

- Certes, cet homme était le Fils de Dieu.

Et vous démons, qu’en pensez-vous ?

- Il est le Fils de Dieu.

Et toi, malheureux brigand qui as partagé son supplice et son agonie, qu’en dis-tu ?

- Cet homme n’a fait aucun mal.

Alors pourquoi l’a-t-on tué ?

Questionnons les Pharisiens qui ont poursuivi Jésus de leur haine et voyons leurs griefs :

- Cet homme reçoit les pécheurs !

Voilà donc leur grande accusation !

Remercions Dieu de ce qu’il les reçoit.

Eux le méprisent, lui il les sauve ; il leur a apporté le pardon et la délivrance.

Vous, anges de Dieu, qui vous réjouissez de ce que Dieu a donné un Sauveur au monde, que dites-vous devant son berceau ?

- Je vous apporte une bonne nouvelle, qui est pour tout le peuple. C’est que… un Sauveur vous est né, et c’est le Christ, le Seigneur.

Et toi, Père céleste, toi qui sais tout, dis-nous qui il est :

- C’est ici mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis toute mon affection ; Ecoutez-le !

Et vous lecteurs, que pensez-vous du Christ ?

Il y n’a pas de question plus importante que celle-là.

Il a dit que quiconque croit en lui ne sera pas condamné, mais que celui qui ne croit pas est déjà condamné !

Il est donc nécessaire de se former dès maintenant une conviction à son égard.

Il y a une chose certaine, c’est que chaque homme aura à reconnaitre un jour Jésus comme son Seigneur et son Roi, car il est écrit : " Tout genou fléchira devant lui et toute langue confessera que Jésus-Christ est Seigneur à la gloire de Dieu, le Père ! " (Philippiens, chapitre 2, verset 10).

Mieux vaut se décider de suite, le reconnaitre sur cette terre comme le Fils de Dieu et notre Sauveur, afin d’être sauvé, que d’avoir à le faire plus tard, après la mort, et d’être perdu quand même !

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