Comment lire la Bible ?

" Applique-toi à la lecture " (1 Timothée, chapitre 4, verset 13).

Cherchons d’abord dans la Parole de Dieu la réponse aux questions que se pose notre cœur à l’heure présente, aux besoins créés par nos circonstances du moment.

C’est quand Daniel avait sur le cœur l’état misérable de son peuple déporté, et qu’il soupirait après la fin de cette longue captivité, qu’il découvrit dans les prophéties de Jérémie qu’elle devait durer soixante-dix ans (Daniel, chapitre 9, verset 2).

Il eut ainsi la solution des problèmes qui agitaient son cœur, et il fut au clair sur ce qu’il avait à faire.

Voilà une lecture bénie de la Bible.

La Parole de l’Eternel ne lui fut pas adressée dans une vision, mais dans l’Ecriture.

Et c’est ainsi qu’elle doit aussi nous parvenir.

Toute parole divine n’a pas pour nous à toute heure la même valeur.

Si vous ne comprenez pas chaque verset du chapitre que vous lisez, ne vous en tourmentez pas.

Pourvu que vous en retiriez de quoi nourrir votre âme aujourd’hui, c’est suffisant, quand même ce ne serait qu’une seule phrase ou qu’un simple mot.

Ne cherchons pas seulement dans l’Ecriture ce qui correspond à nos propres sentiments et à nos besoins personnels, mais pensons aussi aux sentiments et aux besoins de Dieu.

C’est bien quelque chose que d’apprendre par la Bible à connaître nos besoins et que d’y découvrir comment Dieu peut les satisfaire ; mais il y a plus de bénédictions encore dans l’étude des besoins de Dieu.

Car le cœur de Dieu a aussi ses besoins !

C’en est un pour lui de voir arriver tous les hommes au salut et à la connaissance de la vérité.

Et celui-là implique tous les autres.

En tant que rachetés nous devons être ouvriers avec Dieu dans cette immense entreprise, la rédemption du monde.

Ne sommes-nous pas les membres du corps de Christ ?

Et n’est-ce pas de Lui, le Rédempteur, que toutes les créatures, au ciel, sur la terre et sous la terre attendent la rédemption ? (Apocalypse, chapitre 5, verset 13).

A lire la Bible à ce point de vue on découvre comme une Bible toute nouvelle, comme un Dieu nouveau et des horizons tout nouveaux.

Quand on prend à cœur les besoins et les intérêts de Dieu, on perd de vue ses propres besoins, ou plutôt on s’aperçoit qu’ils se confondent avec ceux de Dieu, et le but de la vie se trouve transporté infiniment plus haut.

La Bible doit nous apprendre à voir les choses du point de vue de Dieu.

Tous ceux à qui leur Bible a été en bénédiction ont été des hommes mus par des mobiles et des principes divins.

Voyez encore Daniel : déjà comme jeune garçon, il arrive à Babylone bien décidé à ne pas se souiller par les mets de la table royale.

Et sa fidélité à ses principes divins lui valut une influence bénie : ses amis suivirent son exemple.

Voilà ce que c’est que la " Parole plantée en nous ", dont parle Jacques, (chapitre 1, verset 21) ; voilà comment elle devient une loi vivante (Hébreux, chapitre 10, verset 16), réglant notre vie entière d’après les lignes divines.

Mettons la Parole en pratique !

C’est l’unique moyen d’en avoir une intelligence saine et profonde à la fois.

La méditation ne suffit pas pour parvenir à une connaissance approfondie des voies de Dieu ; il faut avant tout marcher dans ces voies, si obscures qu’elles paraissent.

C’est sur la route de l’immolation qu’Abraham se fraya son chemin jusqu’à " la foi en la résurrection ".

Il crut que Dieu pourrait lui rendre son fils, même s’il fallait le ressusciter des morts (Hébreux, chapitre 11, verset 19).

Pour arriver à ce degré de connaissance, il lui fallut d’abord consentir à marcher dans le chemin du sacrifice.

A travers la lettre de la Bible, Celui qui est la Parole Eternelle et vivante veut parler à notre âme.

Sinon, pourquoi Dieu aurait-il mis entre nos mains les Ecritures ?

N’est-ce pas là la bénédiction suprême attachée à l’étude du divin Livre ?

Consacrons chaque matin la première demi-heure de la journée à la lecture de la Bible.

Si plusieurs ont peu à peu perdu l’habitude de la vie de prière, et s’ils ne trouvent plus de plaisir à leur Bible, c’est qu’ils se sont laissé ravir ces précieux instants de paisible communion avec Dieu.

G. STEINBERGER

L’observation du dimanche et le paiement de la dîme

La chrétienté dans son ensemble a toujours attaché une grande importance à l’observation du dimanche.

Dans la pensée de l’Eglise, il s’agit d’une obéissance très importante à la loi de Dieu et, plus que cela, d’une réelle recherche de la pensée de Dieu au sujet de la sanctification de l’emploi du temps.

Les Anglais ont été stricts sur ce point et fidèles, sinon toujours à l’esprit, en tout cas à la lettre de ce commandement ; la génération qui précède la nôtre a encore le souvenir, parfois un peu douloureux, des longs dimanches ternes et des longues figures de circonstances.

S’il y a eu excès dans ce sens, ce qui est possible, il n’en est pas moins vrai que la société moderne tend de plus en plus à supprimer le dimanche.

Les tentatives d’établissement de la semaine de cinq jours, le travail par roulement dans les usines, sont les procédés les plus classiques de l’adversaire pour y arriver ; il y en a d’autres.

En revanche, dans le sens d’un retour à la stricte observance, on sait qu’il existe une Eglise Adventiste qui complète sa dénomination de la manière suivante : " Adventiste du Septième Jour. "

Pour ces chrétiens, en effet, la soumission du Peuple de Dieu à la règle du repos du septième jour est tellement importante qu’ils ne reconnaissent pas à l’Eglise le droit de le placer le dimanche, puisque c’est le premier jour de la semaine.

Quelle que soit l’opinion que l’on professe à cet égard, il est loyal de dire que cet acte d’obéissance a été accompli au prix de réels sacrifices, ce qui est compréhensible quand on pense au courant qu’il y a à remonter.

Qu’est-ce que la dîme ?

Il s’agit de la dixième partie de ce qu’on gagne qui est abandonnée automatiquement à Dieu pour le service de l’Eglise.

Il ne s’agit pas d’un don mais d’un remboursement à Dieu de ce qui est à Lui.

Il est écrit en effet : " La dîme appartient à l’Eternel. "

Le Réveil de l’Eglise dans la génération passée ayant été un retour à l’obéissance à la Parole de Dieu, les chrétiens ont tout naturellement trouvé une occasion d’exprimer leur foi en revenant à la pratique de la dîme.

(Là aussi l’Angleterre à nettement donné l’exemple, et presque toutes les Eglises qui se rattachent à un mouvement de Réveil quelconque, y sont fidèles encore aujourd’hui).

Le fondement biblique de cette obligation est extrêmement ancien : Abraham, ce prince des croyants, donna à Melchisédech – ce prince qui est une image de Jésus-Christ – la dîme de tous ses biens.

Ouverte pour ainsi dire avec la première page de l’Ancien Testament, cette règle y est encore affirmée dans la dernière page, puisque c’est le dernier des Prophètes, Malachie, qui la rappelle, et même d’une façon extrêmement forte et catégorique.

La question qui est souvent posée à la conscience chrétienne dans le Réveil d’aujourd’hui est de savoir comment un chrétien qui veut être fidèle doit se comporter à l’égard du dimanche et à l’égard de la dîme.

Si la question se pose c’est justement parce que d’une part, en ce qui concerne le dimanche, il y a de plus en plus d’obligations qui nous font souvent un véritable devoir de " travailler " ce jour-là et, d’autre part, en ce qui concerne la dîme, de telles difficultés dans la vie des ouvriers et, des employés (en fait, une telle pauvreté, résultant de la guerre mondiale), que le paiement de la dîme devient difficile, sinon impossible.

En outre, pour la dîme, il est manifeste qu’il y a quelque chose d’injuste dans l’obligation brutale d’un pourcentage uniforme, car une ouvrière qui ne gagne pas suffisamment pour vivre prend, pour la dîme, de la nourriture de ses enfants, tandis que le directeur ou le chef d’entreprise qui gagne largement sa vie ne fera que donner un peu de son superflu.

Tout en appliquant la même règle, les deux auront-ils mis leur conscience en paix d’une manière égale et pourront-ils dire du même cœur : " Nous avons obéi, " alors que l’obéissance du premier est un véritable drame, et celle du second, une chose qui ne présente aucune difficulté ?

Dès le début de son ministère, le Christ a pris soin de définir le but de son Incarnation en disant dans le sermon sur la montagne, qu’il était venu pour accomplir la Loi de Dieu.

Je tiens à supplier ici les chrétiens qui liront ces lignes de s’arrêter devant cette Parole monumentale du Seigneur et de la méditer une fois de plus.

Qu’ils se souviennent que la Loi donnée par Moïse et les Prophètes a eu pour but de révéler à l’humanité, même la plus consacrée, qu’il lui était impossible d’obéir à toute la Loi, c'est-à-dire d’atteindre à la perfection de Dieu par un effort de l’être lui-même.

Jésus vint sur la terre à cause de la faillite d’une humanité qui, par nature, est incapable de respecter toute la Loi de son Créateur.

Dans son enthousiasme, le peuple juif s’était écrié au pied du Sinaï : " Nous ferons tout que ce l’Eternel a dit ", et, dans son zèle ardent, Pierre, le premier des Apôtres, déclare à Jésus : " Même si tous t’abandonnaient, moi je te resterais fidèle. "

Mais moins de quarante jours après son vœu, le peuple unanime offre ses richesses pour fondre le veau d’or, et Pierre, moins de six heures après ses grandes protestations de fidélité, renie trois fois son Seigneur.

Si l’humanité avait été capable d’arriver à la sainteté en obéissant à la loi, Jésus n’aurait pas eu besoin de venir et la Croix eût été inutile.

Mais Jésus est venu parce que, selon les mots de la liturgie des Eglises Réformées, " nous reconnaissons et nous confessons que nous sommes de misérables pécheurs, nés dans la corruption, incapables par nous-mêmes de faire le bien, et qui transgressons tous les jours, et en plusieurs manières, les saints commandements… "

A cause donc de cette faillite, le Christ vient sur la terre dans son Incarnation et dit : " Moi je suis venu pour accomplir. "

Au moment de mourir, ses dernières paroles sur la Croix, juste avant de remettre au Père son esprit, sont : " Tout est accompli… ", et tout l’évangile est contenu entre les deux colonnes de cet immense portique.

Et cet évangile c’est avant tout la bonne nouvelle que sur la Croix le corps du péché, c'est-à-dire l’humanité incapable, l’être désobéissant et déchu est mort.

Ce qui s’encastre entre les deux colonnes de ce portique, c’est essentiellement la Croix de Golgotha.

A Nicodème, et à travers Nicodème, au monde entier, Jésus a dit : " Nul ne peut entrer dans le Royaume de Dieu s’il ne naît pas de nouveau. "

Aux disciples le soir de la première Cène le Seigneur, qui va mourir, dit : " Prenez et mangez ce pain ; c’est mon corps qui est rompu pour vous ; buvez, ceci est mon sang qui est répandu pour vous. "

Et Paul explique dans une divine lumière que la vie du croyant régénéré résulte de son acceptation personnelle de la Croix de Jésus-Christ dans son être tout entier.

Le Christianisme n’est pas une consécration ou une sanctification de l’individu qui par un effort humain grimpe peu à peu vers son Dieu.

Non. C’est un miracle de mort qui s’opère dans la nature même du pécheur par la Croix de Jésus-Christ, et qui est suivi d’un miracle de vie par la Résurrection de Jésus-Christ.

Mais dans cette acceptation de la Croix il y a une condamnation générale, absolue, définitive, sur l’être que nous étions dans la descendance et dans l’hérédité d’Adam.

Dans la Croix de son Sauveur, le chrétien peut dire : " Je ne m’appartiens plus. "

Avec le Christ à Gethsémané il déclare formellement : " Ma volonté ne se fera plus, mais la tienne. "

Et, d’accord avec le prophète, il dit : " Seigneur, tu m’enlèves mon cœur de pierre, et tu mets en moi un cœur nouveau qui est capable d’aimer par le Saint-Esprit. "

Désormais il n’a plus rien en lui de ce pécheur qui désobéissait sans cesse par nature, qui conservait toujours quelque chose pour lui, et qui, en dernière analyse, s’aimait toujours.

Dans la Croix, il ne hait pas seulement son père et sa mère, ses frères et ses sœurs, mais il se hait lui-même, se reconnaissant pour être selon le mot de Pascal, ce " moi haïssable ".

Bref, il a accepté Jésus-Christ et obéi à cette injonction du Maître : " Si tu veux venir après moi, il faut que tu renonces à toi-même, que tu te charges de ta croix et que tu me suives. "

Il accepte d’une manière générale sur sa vie la sentence proposée au jeune homme riche : " Vends tout ce que tu as. "

Il réalise la première béatitude en étant débarrassé de tout esprit de possession.

Sa vie est au Seigneur ; c’est une vie nouvelle.

C’est une vie qui procède d’en-haut ; une vie qui est préoccupée uniquement du Père et de l’établissement du Royaume.

Cette vie est consacrée à aimer et à servir Dieu de toute son âme, de toute sa force, de tout son cœur et de toute sa pensée.

Le chrétien qui vit cette foi n’est plus citoyen de ce monde.

" Il n’est plus du monde, " dit Jésus, mais comme le dit Pierre, il est un " pèlerin et un voyageur sur la terre ".

Et l’épître aux Hébreux indique ainsi le but de son pèlerinage : " La cité qui a de solides fondements, celle dont Dieu est l’architecte et le constructeur. "

Ce chrétien-là vit de cette vie nouvelle dans l’attente du retour de Jésus.

Il prépare ce retour. Tout son travail a en vue cet objectif merveilleux.

Accumulera-t-il des richesses pour lui-même ou prendra-t-il du repos sur une terre qui n’a plus rien à lui donner et dont il n’attend absolument plus rien ?

Cherchera-t-il à établir sur la terre une espèce de Royaume de Dieu, prolongeant ainsi le vain effort du Peuple Juif et tâchant de mettre en pratique toutes les règles, toutes les ordonnances et tous les statuts de la Loi Divine ? …

Eh bien ! Non, car dès le jour de sa conversion, il est, selon l’épître aux Hébreux, entré dans le repos de Dieu.

L’épître précise bien ; c’est le repos de Sabbat de l’Eternel.

Dans l’économie du monde, Dieu lui avait dit : " Pendant six jours tu accompliras toute ton œuvre. "

Car tant que tu étais dans le monde (tant que tu étais sous la Loi), tu avais ton œuvre à accomplir.

A cette époque-là, tu t’appartenais encore à toi-même, et c’était pour toi que tu travaillais, et c’était ton œuvre à toi, la tienne, celle qui te rapportait ta nourriture et ton argent, que tu accomplissais.

Et le Seigneur après avoir dit : " Pendant six jours, tu accompliras toute ton œuvre "… ajoute aussitôt : " Mais… ".

Ce " Mais " annonce quelque chose.

Il dit en somme ceci : Une fois que tu auras fini toute ton œuvre tu penseras à moi et tu me donneras une journée.

Je ne t’en demande pas beaucoup : une sur sept, ce qui correspond à peu près à quinze pour cent ; c’est bien le moins que tu puisses faire pour ton Créateur.

Lorsque le Chrétien est passé par la mort de la Croix dans la communion avec Jésus-Christ, il n’a plus d’œuvre à Lui.

Il ne peut plus faire son œuvre, mais il fait toujours celle du Seigneur.

On peut dire en vérité que la malédiction du travail lui a été enlevée : Il est entré dans le repos du Sabbat de l’Eternel, là où on ne travaille plus seulement un jour sur sept pour le Seigneur, ce qui correspond à quinze pour cent (laissant quatre-vingt-cinq pour cent au monde), mais où on travaille cent pour cent pour le Seigneur puisqu’il n’y a plus rien du tout pour le monde.

Un raisonnement analogue permet de jeter la même lumière sur la question de la dîme.

Il est certain, en effet, que le Chrétien qui obéit à la Parole de Dieu en donnant la dîme de tous ses revenus, honore son Seigneur.

Le Seigneur de son côté honore son enfant en acceptant cette dîme comme si elle lui était utile à Lui à qui personne ne saurait rien donner car il est propriétaire de tout.

On cite de nombreux cas, tous plus beaux les uns que les autres, où le Seigneur d’une manière discrète et tendre a rendu la dîme et au-delà à ceux qui l’avaient ainsi honoré.

Le danger cependant qui guette l’enfant de Dieu et l’attend patiemment au détour de cette route c’est, d’une part, qu’il considère les quatre-vingt-dix pour cent qui lui restent comme une propriété légitime sur laquelle le Seigneur n’aurait aucun droit de regard, et d’autre part, qu’il ne finisse par se complaire en lui-même au point de dire comme le personnage fameux de la parabole du Seigneur : " Je jeûne deux fois la semaine, j’observe rigoureusement le dimanche, je paye la dîme, … je … je … "

C’est à cette attitude intérieure, faite en réalité de suffisance et de complaisance en soi-même que Jésus faisait allusion lorsqu’il disait : " Si votre justice ne surpasse celle des scribes et des pharisiens, vous n’entrerez pas dans le Royaume de Dieu. "

En revanche, le chrétien qui, ayant passé d’une manière totale par la mort à soi-même, n’a plus rien qui lui appartienne, peut sans difficulté aucune considérer désormais que tout ce qu’il possède appartient à l’Eternel.

Il acceptera donc sans difficulté les affirmations de l’apôtre Paul dans le genre de celle-ci : " que celui à qui on annonce l’évangile fasse part de tous ses biens à celui qui l’a enseigné, " ou encore : " Est-ce une grosse affaire si nous avons semé pour vous les biens spirituels, que nous moissonnions les biens temporels ? "

On peut résumer la pensée développée dans les lignes qui précèdent, par la proposition suivante :

Oui, à un certain degré de sa vie spirituelle, il est juste que le chrétien soit instruit à rendre au Seigneur la dîme qui lui appartient, mais le jour où il aura retiré de cette obéissance la plénitude de la bénédiction qui y est attachée, il ne faut pas le laisser tomber dans le piège de l’Adversaire : qu’il ne se complaise donc pas en lui-même mais qu’il dise au Seigneur :

" Désormais ce n’est pas seulement la dîme que je te rends, mais la totalité de ces richesses dont tu m’as appris qu’elles étaient " injustes ".

Et maintenant, Seigneur, tout ce que j’ai sans aucune exception ni réserve, est à Toi, et je le mets à Ton Service pour Ta Gloire. "

Ah ! Qu’elle est donc douce au cœur la Parole du Seigneur qui dit : " Si le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres ! "

GRAINDAZ

P.S. : L’éditeur souligne que dans le Nouveau-Testament, l’apôtre Paul, en ce qui concerne une collecte en faveur des chrétiens pauvres, propose que chacun donne selon ses moyens :

" Que chacun de vous, le premier jour de la semaine, mette à part chez lui ce qu’il pourra, selon sa prospérité, afin qu’on n’attende pas mon arrivé pour recueillir les dons. " (1 Corinthiens, chapitre 16, verset 2).

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