Auprès de la crèche de Bethléem

" Il s’est dépouillé lui-même en prenant la forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes… Il s’est humilié lui-même. " (Philippiens, chapitre 2, versets 7 et 8).

Qu’elle est humble la naissance de Jésus ! Rien qui rappelle le somptueux éclat dont on entoure le berceau d’un fils de roi.

Les cloches de Noël qui, maintenant, d’une extrémité à l’autre de l’univers, annoncent joyeusement la nuit du Christ, ne retentissaient pas alors.

Nul ne chantait les joyeux chants qu’aujourd’hui jeunes et vieux entonnent dans ce jour de fête.

Dans un coin sombre de l’étable d’une auberge, une femme mit au monde un enfant ; une crèche tint lieu de berceau ; telle fut la naissance du Sauveur du monde, du Roi des rois.

Dieu soit loué de ce qu’il en fut ainsi !

Si le Christ était né là où les mages d’Orient le cherchèrent d’abord, dans le luxueux palais des rois à Jérusalem.

Si une foule de domestiques l’avaient servi et entouré dès la première heure du confort et du superflu.

S’il avait fréquenté que les nobles et les savants de son peuple.

S’il avait porté la pourpre sur l’épaule et le sceptre en main, que serait-il advenu ?

Les chargés et les travaillés auraient-ils afflué vers lui ?

Les petits et les simples, les inquiets et les découragés auraient-ils osé s’en approcher ?

Non, son éclat aurait rejeté la misère dans son coin sombre, effrayé les timides et désespéré les pécheurs.

Le Sauveur aurait été le sauveur des riches et des grands ; le chant des anges n’eût pas trouvé d’écho dans le cœur de ceux qui avaient le plus grand besoin d’un salut venu du ciel.

L’étable et la crèche de Bethléem sont pour nous, dès l’enfance, un endroit aimé.

Mais avons-nous bien compris et pris à cœur ce que nous dit cette douce vision en son simple langage ?

Un Sauveur est venu, plein de charité, de dévouement, d’humilité.

Il partage avec nous l’abaissement et la pauvreté, les douleurs et les soucis, les peines et les tentations ; il portera avec nous notre fardeau, s’associera à nos inquiétudes.

C’est un médecin qui connait nos blessures, un grand-prêtre qui sait avoir pitié de nos faiblesses, un ami fidèle, un frère bien-aimé.

N’est-ce pas là ce que tu nous dis, ô nuit de Noël joyeuse et bénie ?

Autre chose encore.

Au jugement de beaucoup d’hommes il manquait à ce pauvre enfant, couché dans la crèche, tous les moyens que l’on juge nécessaires pour accomplir quelque chose dans le monde.

Le Fils de David aurait dû surpasser tous ceux qui l’on précédé et qui l’ont suivi par l’abondance et la perfection des moyens d’action mis à sa portée.

Tel était le rêve d’Israël ; c’eût été sans doute le nôtre, car la plupart des hommes n’ont de foi qu’en la force visible.

Dès son entrée dans le monde, Jésus confond cette sorte de foi.

L’étable de Bethléem proclame bien haut que le royaume du Christ n’est pas de ce monde.

L’enfant dans les langes avertit ceux qui cherchent sans trêve l’argent, les jouissances, la puissance, les honneurs, que sur cette voie ils ne trouveront rien.

La crèche, puis la croix nous posent un ultimatum : " Où cherches-tu ton salut ? auprès de Dieu ou auprès du monde, auprès du Fils de David ou auprès des enfants des hommes ? Que demandes-tu avant tout : la paix du cœur ou la richesse, le salut de ton âme ou le bien-être de ton corps ? "

Tant que nous n’avons pas trouvé la vraie réponse à ces questions, Christ ne nous est rien, ne peut rien pour nous.

Il faut qu’avec une ferme décision nous apprenions à lui répondre : " Plutôt avec toi dans l’abaissement et la pauvreté que sans toi dans l’éclat et les honneurs. "

Alors seulement s’accomplit pour nous la parole : " Aujourd’hui, un sauveur nous est né !

Alors seulement commencent dans notre vie les expériences qui mettent sur nos lèvres ce cantique de louange : Béni soit le Seigneur, le Dieu d’Israël, de ce qu’il a visité et racheté son peuple ! "

Un rayon de Noël dans la chambre des malades

Mes chers amis,

Vous doutez-vous que ce soit bientôt Noël ?

" Ah ! " me direz-vous, " pour nous, toutes les saisons et tous les jours sont des épreuves et la joie de Noël a bien de la peine à pénétrer jusqu’à nous ! "

Il est certain que cela doit être le cas si vous ne pouvez pas dire : " Un Sauveur nous est né ", mais si vous pouvez dire qu’Il est né et qu’Il est mort pour vous, l’épreuve sera changée en joie.

Prenons par exemple, vous, ami paralysé, sans espoir de guérison.

Vous êtes dépendant des autres pour tout et vous vous sentez presque à charge à votre entourage.

Mais ce qui vous est le plus pénible, c’est de vous sentir inutile.

Oh ! le triste mot ! Mais qu’il est faux aussi !

Vis-à-vis de Dieu, vous pouvez être extrêmement utile en lui offrant votre adoration, votre patience, votre joie, vos prières pour les autres.

Quant à ceux-ci, que de choses vous pouvez faire pour eux !

Quoique vos membres soient inertes, votre cerveau est resté intact.

Vous pouvez donc, au lieu de gémir sur vos infirmités, être au contraire un sujet de joie et d’encouragement pour votre entourage.

Les membres de la famille, absorbés par leurs occupations, n’ont parfois pas le temps de réfléchir sur des choses très importantes qui les concernent tous.

Je ne veux pas parler ici seulement des intérêts spirituels qui sont d’un domaine à part et dont chacun doit s’occuper d’une façon personnelle, mais aussi des choses temporelles.

Vous qui êtes tranquille, calme, isolé, pensez pour les autres et ensuite donnez les conseils que vous aurez recueillis de vos méditations.

Vous deviendrez ainsi comme le centre du cercle familial.

Chacun viendra vous confier ses joies et ses peines, ses difficultés, ses doutes.

Ainsi, même dans votre affliction, vous serez une bénédiction.

Et vous, qui souffrez d’insomnie et dont personne ne semble comprendre l’épreuve, un mot pour vous aussi.

J’ai connu une mère qui, après avoir élevé une nombreuse famille, se réjouissait de se reposer enfin.

Mais lorsque ce fut possible, elle commença à souffrir d’insomnies invincibles, résultat d’un épuisement nerveux.

Elle en fut désespérée et se plaignit à un ami qui lui dit :

- Je n’ai qu’une réponse à vous faire : C’est le conseil de David : Repose-toi sur l’Eternel. Fais de Lui tes délices et Il t’accordera les désirs de ton cœur.

Mais elle s’écria :

- " Comment puis-je me " reposer " sur l’Eternel quand je soupire après le repos de mon pauvre corps ? "

- Eh ! bien, essayez tout de même de ce remède. Vous verrez que le repos du corps vient le mieux quand le cœur se repose dans l’Eternel. Car j’ai aussi souffert de grande fatigue nerveuse.

Et savez-vous comment je finissais par m’endormir ? Je commençais à me répéter des textes bibliques, en suivant les lettres de l’alphabet.

Par exemple : Approchez-vous de Dieu, etc… Balance le chemin de tes pieds… Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé, etc…

Avant d’être au milieu de l’alphabet, j’étais tellement calmé que je ne tardais pas à m’endormir, sans m’en douter.

(L'heure tranquille)

Pensées pour Pâques

Il n’est pas question dans le Nouveau Testament de croix au pluriel, on n’y parle que de la croix.

Dans sa signification morale, la croix est le symbole de crucifixion de soi-même.

Elle signifie sacrifice, " Dieu me garde de me glorifier si ce n’est en la croix de notre Seigneur Jésus-Christ, par laquelle le monde est crucifié à mon égard et moi à l’égard du monde ! "

" Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix et qu’il me suive. "

La croix est un emblème du don de soi-même, de l’immolation du moi au service de Dieu…

C’est jouer au christianisme, c’est travestir l’Evangile que de confesser Christ et de continuer à vivre son ancienne vie d’égoïsme et de péché.

Si votre christianisme ne vous coûte rien, sa valeur pour vous équivaut exactement à ce qu’il vous coûte…

Renoncement, crucifixion, transformation – c’est le procédé de mort de de résurrection morales que Christ nous montre par la croix.

Quand on renonce au moi inférieur et qu’on le crucifie, le moi supérieur est renouvelé, transformé, couronné, et nous suivons Christ aussi facilement que l’étincelle monte dans l’air.

J. J. HALEY

Musique de Pâques

C’était au milieu de Pâques et n’étant pas assez bien pour me rendre au culte avec le reste de ma famille, je restai seul.

Le soleil brillait gaiement et je me trainai au jardin où je m’assis sur un banc.

A travers les mille bruits exquis de la nature, en cette matinée de printemps, il me sembla entendre une musique divine s’élever vers le ciel bleu.

C’était le nom de Jésus, le Ressuscité, s’échappant du cœur de milliers d’adorateurs, au même instant.

De mon sanctuaire en plein air, j’entendais les cantiques de louanges et le thème en était Jésus. Le soleil s’avançait calmement et l’air vibrait comme si le nom adoré eût traversé ses ondes éthérées, prononcé dans toutes les langues et par toutes les races.

Un tel honneur échut-il jamais à un autre nom ?

Beaucoup de gens louent l’Illiade mais personne ne chante de cantique à Homère.

Nous nous intéressons à tous les héros du passé mais il est rare qu’un hymne contienne leur nom.

Des milliers de mosquées de l’Orient, je n’entends aucun chant d’amour à Mahomet.

Bouddha est admiré mais aucun cantique d’adoration ne retentit en son honneur.

La religion de Jésus et son Nom béni sont les seuls qui inspirent les joyeux hymnes de la louange.

Et il me semble entendre, tels les torrents du Niagara, la musique sacrée de millions de voix à la gloire du Ressuscité.

Cette tranquille vision d’un matin de Pâques est-elle véritable ?

Le fait ne peut s’expliquer tout seul. Le sceptique n’a aucun argument à nous opposer.

Si Jésus n’était pas ce qu’Il prétend être, se pourrait-il que cet immense concert fût le résultat d’une vaine chimère et d’un mensonge ?

On parle beaucoup de l’influence moralisatrice de la musique : Que serait-elle sans le nom de Jésus ?

Pour l’amateur de plaisir, insouciant et aveugle, pour l’heure de la prospérité, l’opéra peut suffire.

Mais pour l’âme qui souffre, pour l’heure de la mort qui s’avance, la seule musique consolatrice est le nom de Jésus.

Je me levai péniblement et d’une voix joyeuse je me joignis à l’hymne immense qui s’élevait de la terre à la gloire du Ressuscité.

Et il me sembla entendre, en réponse, la voix de milliers d’anges qui disaient :

" A celui qui est assis sur le trône et à l’Agneau, soient la louange, l’honneur, la gloire et la force, aux siècles des siècles. Amen. "

J. H. – L’heure tranquille

Matin de Pâques

Ajoutant l’ombre à l’ombre, des ténèbres soudaines s’étaient étendues sur la Judée.

A son peuple d’élection, Dieu venait de retirer sa présence protectrice et consolante, et de lui montrer, en glorifiant son Fils, l’unité qui existe entre le monde invisible et le règne de la nature.

Le cri de douleur mystérieuse, insondable d’angoisses, qui s’était échappé de l’âme du Sauveur du monde, retentissait encore dans l’âme des saintes femmes qui l’avaient suivi et assisté de leurs biens pendant sa vie, et qui, de loin, avaient été témoins des souffrances et de la mort de leur maître.

Rien ne s’était effacé de leur souvenir.

Et elles gardaient au cœur la vision de son agonie, aussi bien que celle du moment suprême où, comme un chant d’espérance et de victoire, il laissait tomber de la croix ces mots : " Tout est accompli. "

Tout est accompli. Le péché du monde est expié, la peine qu’il méritait est soufferte, une vie humaine, pure et sainte, est consommée jusqu’au sacrifice le plus parfait de la volonté propre.

Le Père est glorifié dans le Fils.

Un vague espoir les poussait en avant.

Et, lorsque le corps de Jésus, descendu de la croix sur la demande de son disciple, homme fort estimé, conseiller de distinction, fut donné à celui-ci, elles suivirent la chère dépouille, et après avoir assisté, muettes, à son ensevelissement, vis-à vis du sépulcre assises, abîmées dans une contemplation intime, perdues dans leur douleur, dans leur amour, elles poursuivirent le grand projet de la réalisation duquel semble dépendre toute leur vie intérieure.

Personne, parmi les habitants de la cité juive, pas plus que la foule des étrangers qui se pressait dans ses murs, ne pouvait ignorer les événements extraordinaires qui s’étaient succédé, rapides.

Sur la montagne de Morija, couronnée de ses tours, le temple, l’orgueil du peuple comme celui des grands de la nation, avait vu son voile si richement travaillé, - et qui séparait le lieu saint du lieu très saint, image du ciel – se déchirer en deux, depuis le haut jusqu’au bas, à l’heure où l’on offrait l’encens.

Que devenait-elle, la gloire dans laquelle, hier encore, il s’élevait, ville fortifiée dans la ville, et dominée ainsi que celle-ci toute entière, par la citadelle Antonia, cube monstrueux qui, situé sur un rocher escarpé, de cinquante coudées de hauteur, avait de plus, au nombre des quatre tours construites à chacun de ses coins, celle du Sud-Ouest, qui mesurait soixante-dix coudées.

Assise sur ses quatre collines, Jérusalem, la ville forte, presque imprenable, - renfermée dans l’épaisse et haute muraille qui se dresse au-delà du torrent de Cédron, et se hérisse de tours – dans ces jours de grande solennité pouvait compter trois millions d’âmes.

La plus belle des villes, au dire des Talmudistes, avec ses palais de marbre, ses palmiers, ses tours, ses places publiques entourées d’allées et de galeries, ses environs aux riches jardins, aux somptueuses maisons de plaisance, Jérusalem déjà s’agitait dans de vagues et confuses rumeurs.

La nue menaçante, l’aspect funèbre que la nature donne à toutes choses, semble faire peser une malédiction sur la cité rebelle qui tue ses prophètes, lapide ceux qui lui sont envoyés, et n’a pas voulu laisser rassembler ses enfants " comme la poule rassemble ses poussins sous ses ailes."

A peine l’aube du premier jour de la semaine commençait-elle à luire.

Anxieuses et tremblantes malgré leur espoir, Marie-Magdeleine et ses compagnes s’avancent absorbées, silencieuses, vers le sépulcre creusé dans le roc, et n’ayant eu aucun contact avec la mort, où, dans un lin pur, le corps de leur Maître a été déposé, sans que ceux qui l’aimaient de leur plus fidèle amour, puissent compléter son embaumement – la journée juive finissant au coucher du soleil, - le sabbat commençait le soir.

Elles le savaient, ces femmes tremblantes, une grosse pierre avait, selon l’usage, été roulée à l’ouverture de la grotte, surtout pour préserver le corps du chacal carnassier.

Inquiètes, elles se demandaient comment elles pourraient achever le saint devoir et employer ces aromates qu’elles apportaient.

Mais, si profonde en ton âme est la reconnaissance que tu sentais devoir à Celui qui t’avait délivrée de la plus affreuse possession, que poussée par la fidélité et ton dévouement même, Marie de Magdala, tu précipites ta marche.

Quelle langue humaine saura jamais les exprimer, les sentiments contradictoires qui remplissent et se partagent ton âme !

Questions angoissantes, que ta raison ni ton cœur ne sauraient résoudre, et auxquelles aucun être humain ne pourrait répondre.

Ces éléments de vie supérieure déposés par les enseignements du Maître, cette précieuse semence jetée dans le sillon, et sa puissance miraculeuse, son amour incomparable des petits et des souffrants, ces trésors de compassion répandus libéralement, toutes ces grâces offertes à tous, et dont le plus humble pourrait profiter…

O Maître, tout cela était-ce donc à jamais fini, à jamais perdu ?

Abimée dans cet état de douleur et de déchirement qui se nomme consternation et désespoir, seule et la première, la voici au sépulcre.

Mais quoi ?...

L’énorme pierre funéraire en a été roulée, le tombeau, - pour elle le lieu le plus cher et le plus sacré de la terre entière, le tombeau est vide, - il a été profané, le corps de son Maître a été enlevé…

Et des larmes brûlantes coulent des yeux de Marie, larmes qu’aucune consolation humaine ne saurait sécher.

Alors, éperdue, elle court à Jérusalem, avertir les apôtres, puis revenant au sépulcre, où elle ne trouve personne que les deux anges qu’elle ne reconnait pas, elle leur confie le secret de son angoisse.

Même l’apparition de ces êtres célestes, en vêtements blancs, ne peut la distraire de sa douleur.

" Que lui importe, à elle, cette vision de gloire ? Ce qu’elle demande c’est le corps meurtri du crucifié. "

Et lorsque Jésus en personne, Jésus lui-même s’approche et lui dit :

- Pourquoi pleures-tu ? … Qui cherches-tu ? …. Encore toute troublée, ne le reconnaissant point, le prenant pour le jardinier, elle le supplie avec larmes de lui rendre le corps de son maître.

Poignante sollicitude d’une âme qui s’est donnée.

" Touchant et naïf amour, profondément humain et vrai, qui rachète par son ardeur ce qu’il a d’aveugle. "

Mais lorsque la voix bien connue, la voix pénétrante du ressuscité l’appelle de son nom : " Marie ! " Le nuage se dissipe, une soudaine lumière jaillit dans son âme ; elle la reconnaît, cette voix qui, naguère, lui apporta la délivrance.

Enfin, elle voit son maître, un regard suffit à chasser le doute, les troublantes incertitudes cessent, et tombant à ses pieds elle s’écrie : - Rabboni ! mon Maître !

O Christ ! oui, c’est bien toi, le ressuscité, le Fils de Dieu, désormais le Sauveur invisible dont Marie de Magdala ne pourra ni rencontrer le regard, ni presser la main, mais qu’elle pourra toujours atteindre par la prière.

Oui, c’est bien toi, qui, descendu du bois infâme, et sorti victorieux du tombeau, va conquérir le monde, et consoler l’humanité.

SANTONE PALUDIS

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