Travaillez à votre salut avec crainte et tremblement,  ….car c’est Dieu qui produit en vous le vouloir et le faire, selon son bon plaisir. (Philippiens 2 : 12 et 13)

L’autre jour, nous avons parlé des " groupes "et de la communion fraternelle ; j’aurais pu terminer là cette suite de méditations sur les pensées fondamentales du Mouvement d’Oxford.

Mais je sens que je ne dois pas m’arrêter là ; il faut encore donner un signal de mise en garde, avant que nous nous mettions en route.

Ce qui nous a été montré ces derniers dimanches, c’est un chemin, découvert à nouveau, pour arriver à un christianisme vivant.

Nous avons appris à connaître toute une série de conditions qui doivent être remplies pour que le Saint-Esprit puisse vraiment agir avec puissance : Le silence, la confession, l’abandon, le partage, la gérance, la communion.

Certains de nos auditeurs ont peut-être été choqués, parce que ces choses ont été présentées comme pouvant être apprises.

Faire dépendre l’action du Saint-Esprit d’une certaine habileté " technique " !

Quelle aberration !

Ceux qui s’indignent ainsi ont raison.

Et nous voulons fixer ce point dès l’abord : Jamais cet Esprit ne se laissera soumettre à une technique quelconque.

Il souffle où il veut ; nous le savons déjà par l’entretien nocturne de Jésus avec Nicodème.

D’autre part, nous pouvons dire ceci : Un marin ne peut pas commander au vent, mais il peut apprendre à disposer ses voiles de façon qu’elles prennent le vent et que son bateau aille dans la bonne direction.

Et certainement, la chrétienté doit apprendre à nouveau à prendre dans ses voiles le vent de l’Esprit saint.

Il arrive que certaines coutumes utiles et importantes tombent dans l’oubli, parce qu’elles ne sont plus exercées, ou parce que d’autres, plus nécessaires en apparence, les ont supplantées.

C’est là ce qui nous est arrivé.

Nous avons désappris l’art de comprendre le Saint-Esprit parce que la parole humaine nous a semblé plus importante.

Et puis, nous sommes trop restés pris dans la théorie ; nous avons été trop théologiens, trop dogmatiques, trop confessionnels.

Par places, nous avons été trop exclusivement prédicateurs, ailleurs trop pusillanimes, trop résignés ; nous avons eu trop peu de foi en la puissance du Saint-Esprit, et nous nous sommes réfugiés dans quelque domaine spécial, dans quelque bonne œuvre qui nous a trompés sur notre vide intérieur.

Nous sommes peut-être devenus socialistes, ou moralistes, ou membres de la Croix Bleue !

Il y avait toujours là quelque chose de bon, mais non pas l’essentiel, et c’est pourquoi nous nous sommes écartés du centre.

Vraiment, de vastes groupes chrétiens en sont arrivés à ne plus savoir ce qu’est le Saint-Esprit, ce dont il est capable ; ils ont désappris à s’en servir et à activer son influence.

Il me semble que ce serait faire preuve d’un orgueil bien déplaisant que de vouloir nous retirer, fermer nos cœurs lorsque Dieu met sur notre chemin des hommes auxquels il a donné de retrouver les conditions qui permettront au Saint-Esprit de se répandre à nouveau sur nous.

Nous voulons plutôt être reconnaissants envers ces hommes qui nous montrent le chemin, qui le déblaient, pour nous ramener vers l’Esprit créateur.

Ils s’offrent pour nous conduire là où nous trouverons le Christ vivant.

Si je veux naviguer à la voile, il faut que je sache m’y prendre.

Il ne suffit pas de déployer une toile aussi grande que possible.

Il faut que j’apprenne comment me comporter pour que le Saint-Esprit ait de la prise sur moi et puisse accomplir en moi des miracles.

Il y a là un écueil à signaler.

L’un ou l’autre pourrait prendre la chose trop à la légère, tomber dans un optimisme dangereux.

Il pourrait mal comprendre telle ou telle image dont nous nous sommes servis pour expliquer clairement telle ou telle vérité, par exemple l’image du commutateur ; il pourrait croire qu’il n’y a qu’à presser sur un bouton pour que le Saint-Esprit soit là !

Ou qu’il n’y a qu’à ouvrir un robinet pour qu’il se mette à couler comme l’eau de nos conduites !

Il n’y aurait plus qu’à être fidèle : Avoir régulièrement ses moments de silence, confesser, pratiquer le sacrifice, le partage, la gérance, et cela irait comme sur des roulettes !

Il y aurait chaque jour moins de chutes, la direction serait toujours plus claire.

Finalement, il n’y aurait plus de défaillances du tout ; on serait parfait.

Cela irait d’après le précepte de Coué : Tous les jours, à tous points de vue, de mieux en mieux !

La vie chrétienne serait alors une ascension ininterrompue vers la sainteté, la perfection ; Dieu serait toujours plus près, la félicité atteinte déjà ici-bas.

Mais non ! Il n’est pas ainsi.

Nous vous avons, ici déjà, mis en garde souvent contre ce christianisme toujours joyeux et bien superficiel.

Nous ne pouvons pas faire tout simplement du Saint-Esprit un auxiliaire docile, toujours prêt à nous fournir des renseignements et à réaliser nos projets.

Être chrétien, c’est être un combattant, et nous le resterons jusqu’à notre dernier souffle.

Il ne peut pas s’agir de promenades joyeuses et faciles sur des sentiers toujours unis, toujours ensoleillés.

Là où Christ est à l’œuvre, le diable ne chôme guère.

Et beaucoup de ceux qui marchent sur le chemin nouveau diront que, souvent dans leur entourage immédiat, ils rencontrent une résistance acharnée, et qu’ils font l’expérience de ce qu’il y a de vrai dans la parole du Christ : " L’homme aura pour ennemis ceux de sa maison. "

Jésus lui-même n’a-t-il pas trouvé un Judas dans le cercle de ses amis intimes ?

Pour arriver au salut, il faut un effort ardent, épuisant ; c’est pourquoi l’apôtre écrit aux Philippiens : " Travaillez à votre salut avec crainte et tremblement. "

Même pour celui qui a reçu l’Esprit divin, il s’agit d’être toujours vigilant.

Car celui qui est conduit, risque toujours de se laisser égarer, et rien n’arrive plus facilement que de confondre les pensées de Dieu avec les pensées humaines.

Nous ne devons jamais oublier non plus que toute action du Saint-Esprit doit servir la cause du Royaume de Dieu et non pas nos intérêts terrestres.

La direction ne peut jamais avoir pour but de fortifier mon égoïsme, de caresser ma vérité.

Le Royaume de Dieu n’avance pas quand mon Moi se développe, mais seulement quand ce Moi a été anéanti.

Si nous croyons que ce chemin de la sanctification, retrouvé et rendu praticable, est commode et plaisant, nous oublions la parole de Jésus : " Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il se charge de sa croix. "

Et il demande à deux de ses disciples préférés : " Pouvez-vous boire la coupe que je dois boire ? " En ajoutant qu’ils devront le faire !

C’est pourquoi aussi, il dit à Pierre : " Un autre te ceindra, et te mènera où tu ne voudras pas. "

Et à Paul : " Il te serait dur de regimber contre les aiguillons ", lorsqu’il lui apparaît sur la route de Damas.

Vraiment, pour avancer sur ce chemin, il faut faire des efforts inouïs ; selon Paul, il ne s’agit de rien moins que de " crucifier le vieil homme ", c'est-à-dire de le rendre douloureusement impuissant.

" J’ai été crucifié avec Christ ", écrit-il aux Galates.

Pensons aussi à la parole de Jésus : " Tout sarment qui porte du fruit, il l’émonde, afin qu’il porte encore plus de fruit ", ce qui, n’est-il pas vrai ? Veut dire ceci : Le couteau qui travaille à notre sanctification, à notre purification est toujours à l’œuvre et fera des entailles toujours plus profondes, des amputations toujours plus douloureuses dans notre vie individuelle.

Cependant, malgré tout, il n’y aura pas seulement " la crainte et le tremblement ", mais aussi de la joie.

Ce n’est pas le vieil homme qui éprouvera cette joie, c’est le nouvel homme, celui que l’Esprit a fait naître.

Cette joie, cette félicité s’acquiert aux dépens du vieil homme.

" Je suis mort ", dit Paul en parlant de cette expérience, et vraiment on ne saurait mieux la caractériser.

Nous ne devons pas oublier non plus ce que Paul affirme aussitôt après avoir parlé de la crainte et du tremblement, et dans la même phrase : " Car c’est Dieu qui produit en vous le vouloir et le faire, selon son bon plaisir. "

Le chemin de la sanctification est difficile et douloureux, non seulement parce que nous ne devons y avancer qu’avec crainte, mais parce que nous ne pouvons pas y marcher du tout par nos propres forces.

Il y a beaucoup de chrétiens, peut-être sont-ils en majorité, qui gardent leur Moi.

Ils se contentent de lui mettre un beau vêtement, et ainsi chrétiennement drapés, ils avancent, pleins d’optimisme et de confiance en eux-mêmes, sur le chemin nouvellement découvert.

Ce Moi peut sans doute très bien prêcher et prier, confesser d’une manière impressionnante, exercer la charité, recevoir des groupes dans sa maison, faire mille choses qui ressemblent au vrai christianisme à s’y méprendre, et qui pourtant n’ont aucune valeur devant Dieu, parce que leur source est l’amour-propre.

Non, c’est Dieu qui fait tout.

Ton travail, tes craintes, ton tremblement déjà ne sont pas ton œuvre, mais viennent du souffle de l’Esprit qui t’a réveillé, ébranlé.

Tu n’es pas le pieux serviteur qui a su plaire à Dieu ; tu n’es que l’objet sur lequel s’est opéré le miracle.

Cela nous rend petits ; c’est la mort de tout amour-propre religieux, de toute la confiance que nous avions en nous-mêmes, comme si nous avions acquis et mérité par nos efforts un capital chrétien.

Non, tout est grâce.

" Qu’as-tu que tu n’aies reçu ? " Demande Paul, dans la première épître aux Corinthiens.

Et à chaque instant, nous risquons de perdre cette grâce ; nous ne pouvons jouir de notre bonheur qu’en tremblant.

Il est comme une lumière que nous devons protéger des deux mains, de peur qu’un courant d’air ne l’éteigne.

Nous devons rester dans cette tension inquiète, dans ce sentiment que notre bonheur pourrait nous échapper.

Notre foi est vraiment telle que le catéchisme la décrit : " Tantôt grande et forte, confiante et joyeuse, tantôt petite et faible, mêlée à beaucoup de doutes, de craintes, de pusillanimité. "

Telle est sa nature. Un chrétien est comme suspendu entre le ciel et la terre.

Son cœur est une arène où luttent deux mondes.

Dieu le tient, mais le diable ne veut pas lâcher prise, et il en résulte des conflits violents.

Mais ces conflits sont des signes de vie intérieure.

Tout ce qui est vie est mouvement, monte et descend, change de niveau, alterne entre la tension et la détente.

Là seulement où règne la mort, la courbe variable est devenue parfaitement droite.

Cette vérité m’a été démontrée un jour d’une façon particulièrement impressive par un " diagramme de la mort ", que j’ai vu dans un illustré.

Là, le mouvement du cœur, représenté par une ligne en zigzag, s’affaiblissait de plus en plus, à mesure que la mort approchait, et finissait par s’arrêter ; alors la ligne était devenue une droite rigide.

Telle est notre vie en Dieu.

Elle sera toujours faite de défaillances et de relèvements ; il y aura toujours la tension dans laquelle se trouve celui qui n’a pas encore " saisi ", qui voudrait " saisir ", et qui a été " saisi ".

Nous serons toujours comme l’apôtre Paul qui, au chapitre 7 de l’épître aux Romains, s’écrie : " Misérable que je suis, qui me délivrera ? " et qui continue, au chapitre 8 : " Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? "

En d’autres termes, comme chrétiens, nous devons toujours de nouveau retourner à la croix de Golgotha.

Nous ne pouvons pas dire : " Je suis tombé à genoux, un jour, sous cette croix, et maintenant je suis guéri une fois pour toutes. "

Nous avons besoin de ce remède toujours de nouveau.

Notre Moi doit être brisé, le nouvel homme doit être relevé toujours de nouveau.

Golgotha, la croix, doit être une expérience toujours renouvelée.

Nous ne pouvons pas être en communion avec le Ressuscité sans être en communion avec le Crucifié.

Nous devons mourir avec lui pour pouvoir vivre avec lui.

Celui qui croit pouvoir arriver à la sanctification en évitant cet état de tension continuelle, celui qui ne sait rien de ces défaites et de ces victoires, qui ne désespère pas d’arriver au but pour se laisser ensuite rassurer à Golgotha, ce lieu où l’âme touche à la vie la plus intense, celui-là verra finalement ses efforts se perdre dans le sable.

Aucun travail de sanctification ne peut s’opérer loin de la croix.

Nous avons probablement tous eu l’occasion de voir, dans nos leçons de physique, une bouteille de Leyde.

C’est un appareil électrique tout à fait primitif, où deux charges, de polarités différentes, sont en présence.

Le courant, passant d’un pôle à l’autre, produit une étincelle.

Plus la distance entre les pôles est grande, plus la tension augmente et plus les étincelles sont fortes.

Cela peut nous servir d’image pour ce qui se passe à Golgotha.

Là aussi, deux courants de polarités différentes sont en présence, à une grande distance l’un de l’autre : Le courant de Dieu et celui du monde.

D’un côté le Dieu saint, inaccessible ; de l’autre un monde pécheur, ennemi de Dieu, qui commet un crime insensé, celui de mettre à mort, de la façon la plus ignominieuse, l’être le plus pur que la terre ait porté.

Entre ces deux courants à haute tension s’élève la croix, et sur celui qui y est attaché, le Fils de l’homme qui est en même temps le Fils de Dieu, la tension mortelle se décharge.

La preuve que cette tension est vraiment déchargée, c’est Pâques et Pentecôte.

Dieu ne rompt pas toutes relations avec les meurtriers de son fils.

Non, le jour de Pâques rend à ce monde criminel celui que les hommes ont méprisé et repoussé.

Et Pentecôte leur donne le Consolateur dont ils ont besoin plus que jamais, et répand sur eux toute la plénitude des grâces de Dieu.

La croix, ce pilori honteux, devient l’emblème du salut, le signe que Dieu peut et veut changer la mort en vie, le sacrifice en rédemption, la malédiction en bénédiction, la défaite en victoire.

La croix était nécessaire pour que Pâques fut possible.

Pâques, c’est la preuve rayonnante et divine que le chemin de l’humiliation était inévitable, ce chemin que Jésus, soumis au Père, accepta de suivre le jour où il fut attaqué si cruellement par le tentateur.

Golgotha, c’est le lieu où le Dieu saint et l’humanité coupable, la miséricorde infinie et le péché arrivé à son comble, où la volonté divine de sauver et le mépris inconcevable de cette volonté se sont rencontrés dans un choc suprême.

La croix qui se dresse entre les deux pôles est le gage, voulu de Dieu, qu’il n’y a aucune tension entre ce Dieu et l’homme perdu qui ne puisse être déchargée et transformée en bénédiction, rendue féconde pour le Royaume de Dieu.

Nous ne trouverons jamais le dernier mot de cette énigme qu’est la croix.

Jamais la parole humaine ne suffira pour décrire et expliquer ce qui s’est passé là.

Quand nous essayons de parler de ce qui est surhumain, nous sentons toujours notre impuissance, et chaque fois que nous voulons enfermer dans une doctrine un acte divin, le contenant est trop petit, et une partie du contenu si précieux se perd.

Mais nous savons une chose : Là où le Saint de Dieu a poussé son cri de désespoir : " Mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? " pour remettre ensuite avec confiance son esprit entre les mains du Père, là tous les désespérés peuvent reprendre courage.

Malgré tous les progrès que nous pouvons avoir faits sur le chemin de la sanctification, malgré toutes les libérations, toutes les victoires qui peuvent nous avoir été accordées, nous retomberons toujours dans le péché, et c’est pourquoi nous devrons toujours revenir à la croix de notre Sauveur, pour qu’il nous guérisse de notre désespoir.

La tension de Golgotha doit se trouver, doit rester dans tout cœur racheté.

Personne n’a su mieux exprimer cela que Luther, lorsqu’il parle du " désespoir confiant " du chrétien.

Ces deux mots, qui se contredisent, renferment justement ce qu’il a de plus important, ce qu’on ne peut pas exprimer autrement, ce qui ne doit manquer chez aucun chrétien vivant : " J’ai toujours besoin d’être racheté, et je sais que je le suis sous la croix.

" Je suis toujours perdu et condamné, et en même temps absous et sauvé.

" Et puisqu’il en est ainsi, je suis toujours tendu entre ces contrastes irréconciliables, et cette tension fait de moi un chrétien vivant. "

Ainsi, dans le courant alternatif, l’étincelle s’interrompt pour s’amorcer de nouveau ; et de ces alternances résulte la puissance extraordinaire du courant.

Notre marche sur le chemin de la sanctification est interrompue par le péché ; toujours de nouveau le lien qui m’unit à Dieu se déchire, mais sous la croix il se renoue, et grâce à ces expériences indispensables qui doivent se renouveler sans cesse, notre homme intérieur se développe.

Nous savons cela.

Aussi mettons-nous consciemment la croix de notre Sauveur au centre de notre christianisme.

Là où se dresse cette croix, tout optimisme superficiel disparaît.

Je ne dois jamais oublier que Christ a dû laisser sa vie pour que je puisse appeler Dieu " mon Père. "

Et c’est pourquoi la crainte et le tremblement ne manqueront pas dans notre vie chrétienne.

Nous sommes condamnés sans merci, livrés sans conditions, mais celui auquel nous sommes livrés est le Dieu de miséricorde.

Nous savons que nous avons beau courir, nous n’avancerons que si Dieu a pitié de nous.

Mais nous savons aussi qu’il n’a pitié que de ceux qui courent, courent sans se lasser.

Une chose est donc toujours vraie, c’est que le chrétien, bien qu’il ait fait l’expérience de la puissance de Dieu, bien qu’il se sache dirigé par Dieu et qu’il remporte bien des victoires, reste un homme désespérant de lui-même.

Mais chaque fois que le désespoir l’envahit, il pourra le déposer sous la croix du Sauveur, et là il trouvera un réconfort qu’il n’aurait nulle part ailleurs : Là il saura ce que c’est que le " désespoir confiant. "

101 - La direction (Tome 3)

Voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde Matthieu 2...

102 - L'abandon (Tome 4)

Ils se sont donnés eux-mêmes 2 Corinthiens 8 : 5 Ces derniers dimanches, no...

103 - Le partage (Tome 5)

André trouva le premier Simon son frère, et il lui dit : " Nous avons trouv...

104 - La gérance (L'administration - Tome...

" Comme de bons dispensateurs des diverses grâces de Dieu, que chacun de vo...

105 - Le groupe et la communion (Tome 7)

Là où deux ou trois sont assemblés en mon nom, je suis au milieu d’eux. (Ma...

106 - Christ et notre angoisse (Tome 8)

Qui nous séparera de l’amour de Christ ? Sera-ce la tribulation, ou l’angoi...

107 - Une "house party" dans la maison de...

Vous savez presque tous que, il y a quelque temps, j’ai pris part à une ren...

108 - Le désespoir confiant (Tome 10)

Travaillez à votre salut avec crainte et tremblement, ….car c’est Dieu qui...

109 - Aux prises avec la maladie de WEGENE...

Depuis au moins deux mois, je me sentais fatigué anormalement avec des symp...

110 - Les leçons de la souffrance

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Notre Père, qui est aux cieux ! Que ton nom soit sanctifié ; Que ton règne...

112 - La grappe d'Escol

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113 - Méditations d'Arthur BLOCHER

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115 - Etudes diverses mais utiles pour not...

Une minute trop tard Le pasteur B. était d’une exactitude scrupuleuse. Soit...

116 - La vie de l'église

Prépare-moi d'abord un petit gâteau Quand donc, nous les chrétiens, apprend...

117 - Le travail de la souffrance

La parabole du cultivateur " Celui qui laboure pour semer laboure-t-il touj...

118 - Le vêtement - Les arts martiaux

Dieu s'intéresse-t-il à nos habits ? Le vêtement - l'habit - Symbole pédago...

119 - La repentance

Si vous ne vous repentez, vous périrez tous également. Luc 13 : 3 à 5 Le re...

120 - Pâques

Coment fêtons-nous Pâques ? Où l’on se rappelle que Jésus était juif. Où l’...