Un fidèle petit messager en Afrique

Kouison est bien content ce matin, car son missionnaire vient de lui confier une tâche très importante qui lui fait honneur.

Il s’agit d’aller porter une lettre urgente à son collègue de la station voisine, à quelques kilomètres du village.

Pour cela, il lui prête son joli vélo neuf, et vous pensez avec quel entrain notre jeune ami se met en route, pédalant à toute vitesse sur le petit chemin qui traverse la forêt.

Mais voilà que bientôt il aperçoit derrière un fourré deux yeux brillants fixés sur lui ; c’est un gros lion qui guette son passage pour l’attaquer et, bien sûr, le dévorer tout entier !

Le cœur de Kouison se met à battre bien fort, et la terreur envahit tout son être.

Que faire ? Retourner en arrière et fuir à toute vitesse le péril qui le menace.

Mais la lettre du Bwana est pressée, il faut absolument qu’il la porte tout de suite.

Son petit enfant est bien malade, et le collègue doit venir sans tarder.

Alors Kouison se rappelle soudain de ce qu’il a appris à l’École du Dimanche sur le grand Dieu du Ciel qui répond aux prières de Ses enfants.

Et notre jeune ami est bien un enfant de Dieu, il a reçu le Seigneur Jésus dans son cœur à la dernière réunion, donc il peut compter sur Lui maintenant, à l’heure du danger.

" S’il te plaît, Seigneur, fais que le lion ne me touche pas, je t’en prie "

Et fortifié par la foi que Dieu lui donne au moment même, il décide d’aller de l’avant malgré tout. Il accélère sa vitesse, et file comme une flèche devant l’animal surpris, tout en sonnant bien fort pour lui faire peur.

Et le fauve, tout décontenancé, s’enfuit dans la forêt, la queue entre les jambes.

Le Seigneur a répondu à la prière de Son enfant, et le voici bientôt arrivé, hors d’haleine, fatigué, mais joyeux d’avoir pu accomplir sa mission.

Il est reçu avec amour par le missionnaire, après avoir raconté son aventure, et repart quelques moments après, en compagnie de celui qui va apporter au cher bébé le soulagement et la guérison.

Ami lecteur, tu n’as peut-être jamais rencontré le lion sur ta route ; mais sais-tu qu’il y a un être plus dangereux encore que le lion à quatre pattes, celui que l’apôtre Pierre appelle " le lion rugissant " (lis 1 Pierre, chapitre 5, verset 8), le diable, ou Satan.

C’est lui l’ennemi n°1, celui qui est toujours là pour te tenter au mal, pour s’opposer à ta course en avant dans le chemin étroit qui conduit à la Vie éternelle.

Mais rassure-toi, cependant. La Parole de Dieu nous dit qu’il est un ennemi déjà vaincu.

Le Seigneur Jésus, en mourant pour nous sur la Croix, a triomphé de ce terrible " lion " et si nous nous confions en Lui, nous serons aussi vainqueurs.

" Votre adversaire, le diable, rôde autour de vous comme un lion rugissant. Résistez-lui, étant fermes dans la foi " (1 Pierre, chapitre 5, verset 8).

Quand les enfants prient

Nicolas et Chloé (6 et 4 ans) sont sagement assis à l’arrière dans la voiture de leur tatie.

Soudain, il semble à Chloé que Tatie a parlé, mais elle n’a pas bien entendu.

- Tu nous a dit quelque chose, Tatie ?

- Non, je parle juste à Jésus. Mon genou me fait mal et je lui demande de m’aider à conduire.

- T’en fais pas Tatie. Toi tu conduis, et nous ont fait la prière.

Le témoignage de Tatie, c’est qu’après la prière des enfants, la douleur du genou a complétement disparu.

C’est la fin de l’été, la rentrée est dans quelques jours.

Mais Tatie a décidé d’offrir à ses deux neveux 2 jours à la mer avant la reprise de l’école.

C’est la fin du mois d’août, froid et gris, et sur la route, il ne fait que pleuvoir.

Arrivés le soir à Dunkerque, les enfants s’apprêtent à aller au lit.

Il pleut encore et la météo n’annonce pas de changement pour le lendemain.

Mais cela n’effraie pas les enfants : " on va prier pour qu’il fasse beau demain. "

Contrairement aux prévisions de tous, le soleil brille le lendemain et les enfants peuvent jouir de la mer dès le matin.

Papa me connait

Lectures proposées :

" Celui qui a formé l’œil ne verra-t-il point ? " (Psaume, chapitre 94, verset 9). "

Comme il (le fils prodigue) était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion ; courant à lui, il se jeta à son cou et le couvrit de baisers " (Luc, chapitre 15, verset 20).

Un petit garçon dont le père était mineur dans un des derniers charbonnages du Nord de la France, s’était posté, un soir, à l’entrée de la mine.

Il attendait patiemment la remontée de l’ascenseur et la sortie des mineurs.

Un homme âgé qui l’observait lui demanda :

- " Qu’est-ce que tu fais là ?

- J’attends mon père.

- Tu ne pourras pas le reconnaitre, ton père, parmi les centaines d’hommes qui sortent tous avec le même casque et la même figure noire de charbon. Tu ferais mieux de rentrer chez toi.

- Mais, mon papa me connait, répondit le petit garçon. "

Quelle belle réponse ! L’enfant sait qu’il n’est pas capable, mais, plein de confiance, il ne peut pas douter de l’affection de son papa. Il n’est pas possible qu’il ne le voie pas.

Notre Dieu voit tout, entend tout, sait tout.

Le roi David disait : " Tu connais quand je m’assieds et quand je me lève, tu discernes de loin ma pensée. Tu connais mon sentier et mon coucher et tu es au courant de toute ma vie " (Psaume, chapitre 139, versets 2 et 3).

Rien n’est trop petit pour lui. Mais il n’y a pas seulement en Dieu cette connaissance parfaite de toutes choses ; il y a en lui l’amour, l’amour d’un Père pour ses enfants.

Aussi Jésus disait-il à ses disciples : " Votre Père sait de quoi vous avez besoin " (Matthieu, chapitre 6, verset 8).

(Calendrier la Bonne Semence – 27 septembre 1996)

Dieu sait compter

Lectures proposées :

" Dieu ne voit-il pas mon chemin et ne compte-t-il pas tous mes pas ? " (Job, chapitre 31, verset 4).

" Je ne me souviendrai plus jamais de leurs péchés ni de leurs iniquités " (Hébreux, chapitre 10, verset 17).

Antoine et Sylvie jouent ensemble dans la salle à manger ; leur mère entre, pose sur la table une assiette de gâteaux et s’en va.

- Oh, les bons gâteaux ! s’écrie Antoine, j’en prends un.

- N’y touche pas, Antoine, dit Sylvie en lui retenant le bras, maman serait fâchée, c’est pour le dessert.

- Elle ne les as pas comptés, dit le garçon.

- Mais peut-être que le Seigneur Jésus les a comptés, répond Sylvie.

Antoine réfléchit et dit : Tu as raison, Dieu compte, puisqu’il est écrit dans la Bible, que même les cheveux de notre tête sont tous comptés (Matthieu, chapitre 10, verset 30).

Dieu sait compter en effet.

Un roi païen en fit un jour l’expérience (Daniel, chapitre 5).

Il avait oublié Dieu, mais Dieu avait compté chacun des jours de son royaume. Et un soir d’orgie, tout à coup Belshatsar, blanc de terreur, voit s’inscrire sur le mur de la salle de festin quatre mots seulement : " compté, compté, pesé, divisé. "

Dieu avait fait son addition et avait tiré un trait.

Le moment de régler les comptes était arrivé.

Tes jours sont comptés, tu as été pesé et tu manques de poids, ton royaume est divisé et donné à tes ennemis.

Cette nuit-là, le roi est tué et le royaume de Babylone passe aux mains des Mèdes et des Perses.

Si les jours de chacun de nous sont comptés, personne ne sait combien il lui en reste.

C’est pourquoi il est urgent de " faire nos comptes " avec Dieu.

N’attendons pas qu’il soit trop tard.

(Calendrier la Bonne Semence – 10 juillet 1997)

Un trou dans la digue

Lectures proposées :

" J’ai cherché parmi eux un homme qui ferme la clôture et qui se tienne à la brèche devant moi pour le pays, afin que je ne le détruise pas ; mais je n’en ai pas trouvé " (Ezéchiel, chapitre 22, verset 30).

" On t’appellera : réparateur des brèches " (Esaïe, chapitre 58, verset 12).

Voici l’histoire d’un petit garçon hollandais qui évita une catastrophe.

Passant le long d’une digue, il remarque que de l’eau coule par un petit trou.

Certainement des rats musqués ont creusé leur chemin à travers la digue, de sorte que l’eau passe par ce trou qui s’agrandit toujours plus.

Si la digue vient à céder, la mer va submerger tout le village.

Prenant rapidement sa décision, le garçon apporte des pierres et bouche le trou provisoirement.

Ensuite, il prévient les gardiens qui interviennent pour réparer la digue dont la rupture est ainsi évitée.

Ce n’était pas là une action d’éclat, mais elle sauva la vie de nombreuses personnes.

Il en est ainsi dans le domaine moral.

Le monde dit chrétien risque d’être submergé par des influences corruptrices.

La Bible est critiquée, et tous les principes divins sont méprisés.

Le mariage et bien d’autres institutions divines qui devraient être tenus en honneur sont trainés dans la boue.

Dans cette situation, Dieu cherche des hommes qui prennent position pour lui.

Il ne s’agit pas d’avoir une grande connaissance ou des capacités exceptionnelles, mais d’être personnellement ferme et intolérant quant au mal qui s’infiltre.

Si, en tout simplicité, mais avec décision, nous savons dire " non " à tout ce qui est opposé à l’ordre de Dieu, nous ferons partie de ceux qui se tiennent pour lui " à la brèche. "

(Calendrier la Bonne Semence – 9 mars 1994)

La tirelire

Lecture proposée :

" Fais-moi entendre dès le matin ta bonté, car en toi j’ai mis ma confiance ; fais-moi connaître le chemin où j’ai à marcher, car c’est à toi que j’élève mon âme.

Eternel ! délivre-moi de mes ennemis ! c’est vers toi que je me réfugie " (Psaume, chapitre 143, versets 8 et 9).

Une nuit, le chien de la famille Pérez se mit à aboyer dans la cour.

Tout le monde fut debout en un clin d’œil.

On savait que des combattants de la guérilla se cachaient près du village.

Quelques-uns étaient déjà venus les rançonner la veille. Terrifiés, les enfants s’accrochaient aux mains des parents.

Avec de grands coups dans la porte, des voix rauques réclamaient qu’on ouvre.

Le père obéit, et quatre gaillards menaçants entrèrent, l’empoignèrent ainsi que son fils aîné et les firent s’adosser au mur.

" Donnez-nous de l’argent ! " réclamèrent-ils.

" Tout notre argent nous a déjà été pris " répondit M. Pérez.

" Dans ce cas, nous allons vous descendre ", déclara le chef froidement.

Une des petites filles s’avança vers l’homme et lui dit :

" Je vais chercher ma tirelire ". Elle quitta la pièce en courant, et avant que le chef n’ait eu le temps de comprendre, elle reparut avec quelques petites pièces qu’elle lui mit dans la main.

Pendant un instant, il se fit un grand silence.

Puis le chef se pencha et embrassa la petite fille.

En silence les hommes quittèrent la maison.

Dès que la porte fut fermée, les Pérez se mirent à genoux, tous ensemble en famille, et le père remercia le Seigneur pour sa bienveillante protection.

Dieu a mille moyens pour accomplir ses merveilles !

(Calendrier la Bonne Semence – 11 janvier 1994)

Où va ton chemin ?

Lectures proposées :

" Ainsi dit l’Eternel : Voici, je mets devant vous le chemin de la vie et le chemin de la mort " (Jérémie, chapitre 21, verset 8).

" Nous partons pour le lieu dont l’Eternel a dit : Je vous le donnerai. Viens avec nous " (Nombres, chapitre 10, verset 29).

Nathalie, 10 ans, revenait d’une réunion d’évangélisation, encore tout occupée de ce qu’elle avait entendu.

Au moment du repas qui suivit, elle demanda à son père : " Papa, tu ne veux pas faire la prière ?

" Irrité par cette question, celui-ci répondit brusquement : " Tu as ta mère et ta tante Henriette pour leur demander ce genre de chose. Mais ne m’en parle pas à moi. "

" - Oh ! papa, dit la petite, j’ai entendu ce soir quelqu’un qui a dit que tout le monde devrait prier. "

D’un ton qui n’admettait pas de réplique, le père lui dit : " Va ton chemin. Je veux aller le mien. "

L’enfant hasarda encore : " Alors, dis-moi où il va ton chemin ? "

Cette question, comme une flèche, atteignit le cœur du père.

Bouleversé, il se retira dans sa chambre et cria à Dieu qui, dans sa grâce, répondit à sa prière.

Qu’est-ce que vous auriez répondu à la question de Nathalie ?

Quel chemin suivez-vous ?

Est-ce que c’est celui de la foule où l’on va, porté par les autres, sans trop savoir où il aboutit, mais rassuré par le grand nombre ?

Jésus nous parle de deux chemins et de deux seulement : le chemin étroit qui mène à la vie et le chemin large qui mène à la perdition (Matthieu, chapitre 7, versets 13 et 14).

Lequel avez -vous choisi ?

(Calendrier la Bonne Semence – 11 septembre 1996)

Tu lis dans mon coeur !

- Veux-tu que nous disions notre prière ensemble, à haute voix. Bernard ? dit Daniel, un soir que les deux petits frères se préparaient à aller au lit.

- Mais oui, dit Bernard.

Et les deux enfants répétèrent ensemble leur prière du soir : " Mon Dieu, bénis papa, maman et tous nos amis… Amen ! "

Là-dessus, Daniel se releva d’un bond sur ses pieds nus, tandis que Bernard restait encore à genoux, près de son petit lit.

- Qu’est-ce que tu attends ? demanda Daniel ?

- J’attends la réponse de Dieu, dit Bernard. Ne te rappelle-tu pas que M. Etienne a dit qu’il ne faut pas se dépêcher de se lever après avoir prié.

Il dit que ce serait comme le petit garçon qui est venu un jour sonner à sa porte, et quand M. Etienne a ouvert, le garçon courait déjà loin dans la rue.

Il dit que Dieu lit dans notre cœur et que nous devons attendre pour voir s’Il a quelque chose à nous dire. Maintenant, j’attends toujours après la prière.

- Comment te parle-t-Il ? demanda Daniel, très étonné et plein de respect.

- Tu ne le sais pas ? Dieu nous parle par une petite voix en nous.

- T’a-t-Il dit quelque chose ce soir, Bernard ? demanda Daniel d’un air surpris.

Bernard fit un signe de tête affirmatif.

- Tu veux me dire ce qu’il t’a dit …

Bernard ne répondit pas tout de suite, parce que ce n’est pas facile de parler de ce que la petite voix nous dit au-dedans de nous.

Mais, après un moment de silence, il dit à voix basse :

- Tu sais, nous disons :" Mon Dieu, bénis tous nos amis… " J’ai tout de suite pensé à Pierre ; nous avons eu une bagarre aujourd’hui, et pendant que j’attendais, Dieu m’a dit : " Dis-lui que tu le regrettes. "

- Et tu le lui diras, Bernard ? insista le petit questionneur.

- Oh ! oui, je dois le lui dire.

Daniel grimpa doucement dans son lit, se disant à lui-même qu’il attendrait aussi la réponse de Dieu, tout en se demandant s’il lui faudrait avouer que c’était bien lui qui avait laissé échapper le lapin de sa cage, ce matin.

Le coin des enfants

L’amour d'un père

Lectures proposées :

" (Dieu) nous discipline pour notre profit, afin que nous participions à sa sainteté " (Hébreux, chapitre 12, verset 10).

" Comme un père a compassion de ses fils, l’Eternel a compassion de ceux qui le craignent " (Psaume, chapitre 103, verset 13).

Paul Moody, le fils du célèbre évangéliste, raconte comment son père un jour lui a démontré l’amour du Père céleste pour ceux qui sont ses enfants.

Paul n’avait que dix ans.

" Mon père m’avait dit d’aller me coucher, raconte-t-il. Nous avions à la maison un camarade de mon âge et je continuai à bavarder et à jouer avec lui.

Un peu plus tard, mon père revint dans la pièce et se rendit compte que je ne lui avais pas obéi.

Il m’ordonna très sévèrement d’aller me coucher immédiatement. Et c’est ce que je fis, effrayé et en larmes.

Anecdote banale jusque-là.

Mais avant que je n’aie eu le temps de m’endormir, mon père vint à mon chevet.

Il m’expliqua qu’il m’avait grondé parce que je lui avais désobéi, mais que cela ne voulait pas du tout dire qu’il ne m’aimait plus.

Quand il s’agenouilla pour prier avec moi, je remarquai que des larmes coulaient sur ses joues.

Aucun sermon sur la bonté du Seigneur ne m’a plus éclairé sur ce sujet que le visage de mon père se penchant avec bienveillance au-dessus de mon lit dans la pénombre. "

Aux jours d’épreuve amère,

De luttes, de douleur,

Quand, sous la main du Père,

Il faut verser des pleurs,

Ne perdons pas courage,

En paix soumettons-nous.

De ce Dieu grand et sage

Apprenons à genoux.

(Calendrier la Bonne Semence – 6 août 1994)

241 - Noël et Pâques

Auprès de la crèche de Bethléem " Il s’est dépouillé lui-même en prenant la...

242 - Richesses de la Bible

La Bible et les systèmes " Personne ne prêchera l’Evangile avec la même plé...

243 - Veux-tu me faire une place ?

Veux-tu me faire place ce soir ? Il est près de minuit, la journée de Noël...

244 - Georges WISHART

Georges WISHART - Souvenirs de la réforme en Ecosse (1) Dans l’été de 1544,...

245 - Une conversion dans les catacombes

Une conversion dans les catacombes A ceux qui en appellent à la tradition p...

246 - Le ruisseau de Dieu

" Le ruisseau de Dieu est plein d'eau " Psaume, chapitre 65, verset 10) Dis...

247 - Témoignages de guerre

Le pain de la maison On sait que l’armée de l’est, commandée par le général...

248 - La science chrétienne

La science chrétienne, qu'est-elle et d'où vient-elle ? A Par la mort de Mm...

249 - Le jeune tambour

Le jeune tambour La guerre de Sécession (1862 – 1865) mit aux prises, en Am...

250 - Libre en prison

Libre... en prison L’auteur de ces notes, Eva Hermann, est membre de la bra...

251 - Ces petits qui croient en Moi

Un fidèle petit messager en Afrique Kouison est bien content ce matin, car...

252 - Les bienfaits de l'école

Une leçon salutaire " Allons, Jean, dépêche-toi ! Tu arriveras en retard à...

253 - Histoires de chiens

Une leçon sur les chiens de la Bible Dieu s’occupe-t-il des chiens ? Peut-I...

254 - Les mères

Deux mères I Le salon est élégant, chaud, agréable, avec un épais tapis pou...

255 - Quelques conseils aux mères chrétien...

Quelques conseils aux mères chrétiennes Leçons de foi Je me souviens d’un i...

256 - Aux jeunes gens

Aux jeunes gens C’est Napoléon qui a dit : " Dans toute bataille, il y a di...

257 - Rachetez le temps

Etes-vous prêt pour une nouvelle année ? N’est-ce point là une question de...

258 - Histoires d'enfants

Contre les semaines de bonté Il n’est jamais trop tard pour bien faire, aus...

259 - A nos jeunes filles

Sa mère C’était le grand jour de la fin de l’année scolaire du pensionnat....

260 - Mettez en pratique la Parole

Réflexions sur la vie de Lot Nul doute que Lot croyait bien faire ses affai...