La foi

Croire, c’est admettre la véracité d’un témoignage.

Ce n’est pas comme on le prétend un saut dans l’inconnu ; cela ne serait que de la crédulité.

Dieu ne nous demande pas de croire sans donner un objet défini à notre foi, et sans nous donner des garanties.

Beaucoup de personnes regardent davantage à elles-mêmes qu’à Jésus-Christ ; à la foi plutôt qu’à l’objet qu’elle doit saisir.

La foi n’est qu’une main tendue pour prendre la bénédiction que Dieu veut donner.

Supposez que vous rencontriez dans la rue, un homme que vous connaissez depuis des années en sa qualité de mendiant ; vous lui offrez une aumône, mais il vous répond :

- Merci, je n’en ai plus besoin, je ne mendie plus.

- Comment donc ?

- Hier au soir, un passant m’a donné vingt-cinq mille francs.

- Vraiment ! Etes-vous sûr que c’était du bon argent ?

- J’ai porté son chèque à la banque et on m’a payé.

- Comment cela s’est-il fait ?

- Je demandais l’aumône, le monsieur a parlé quelques instants avec moi, puis il a tiré un chèque de vingt-cinq mille francs et me l’a donné.

- Mais êtes-vous sûr que c’est bien dans la main droite qu’il nous a mis cette somme ?

- La main droite ? Que m’importe dans quelle main il l’a mise, pourvu que la somme soit à moi !

Bien des gens sont toujours à se demander si la foi par laquelle ils saisissent Christ est de bon aloi ; mais ce qui est plus important, c’est de savoir si le Christ à qui nous croyons est bien véritable.

Un de mes amis avait une petite fille qui était malade de la fièvre scarlatine, ce qui l’obligeait à la séparer des autres enfants.

Chaque matin, le grand-père avant de partir pour son bureau, allait dire adieu à l’enfant, reléguée dans une chambre.

Un jour, la petite fille prit le vieillard par la main et le conduisit dans un coin de la chambre ; sans dire une parole, elle lui montra une inscription qu’elle avait tracée sur le tapis avec des miettes de son biscuit : " Grand-papa, donne-moi une boîte de couleurs. "

Le grand-père ne dit rien.

A son retour, il entra comme d’habitude auprès de l’enfant ; celle-ci sans même regarder si le grand-père avait apporté la boite, le conduisit de nouveau dans le même coin où il vit écrit de la même manière : " Grand-papa, merci pour la boîte de couleurs. "

Le vieillard, qui heureusement avait apporté la boîte, n’eût voulu pour rien au monde, à ce moment, l’avoir oubliée.

Voilà ce que c’est que la foi.

Mais répète-t-on, la foi est un don de Dieu.

L’air aussi, mais il faut l’aspirer.

Le pain aussi, mais il faut le manger.

La simple connaissance intellectuelle ne sauve personne ; il faut croire en Jésus et faire de Lui son unique espérance.

Il faut, en un mot, tout quitter pour le suivre.

D. L. MOODY – (Sens unique)

FIXEZ LES YEUX SUR MOI !

Un chirurgien célèbre, avant de pratiquer une opération, a l’habitude de dire à ses patients :

" Regardez votre blessure à loisir, puis fixez vos yeux sur moi et ne les retirez plus jusqu’à ce que l’opération soit finie. "

La comparaison est excellente.

Pécheur, regardez votre blessure, mais fixez ensuite vos regards sur Jésus et ne les ôtez plus.

Il vaut mieux regarder au remède qu’à la plaie.

Constatez quel grand pécheur vous êtes, puis regardez à l’Agneau de Dieu.

Il est mort pour l’impie et le pécheur.

Dites : " Je crois en lui. "

Et que Dieu vous aide à porter vos yeux vers le Calvaire.

Après la bataille de Pittsburg, j’étais dans un hôpital à Murfreesborough (au cours de la guerre de Sécession, vers 1863).

Au milieu de la nuit on vint m’éveiller, et l’on m’annonça qu’un blessé, dans l’une des salles, désirait me voir.

J’y allai.

" Aumônier, me dit-il, (je n’étais pas l’aumônier), aidez-moi à mourir.

- Si je pouvais, lui répondis-je, vous porter dans mes bras jusqu’au ciel, je le ferai ; mais je ne le puis pas, je ne saurais vous aider à mourir !

- Qui donc le peut ? demanda-t-il.

- Le Seigneur Jésus-Christ, lui dis-je. Il est venu sur la terre dans ce but.

Il secoua la tête.

- Il ne peut me sauver, j’ai péché toute ma vie. "

Je pensai alors à la pauvre mère, dans le Nord, et je me dis qu’elle serait heureuse d’apprendre que son fils était mort en paix ; je résolus donc de rester auprès de lui.

Je priai deux ou trois fois et lui répétai toutes les promesses de Dieu qui vinrent à ma mémoire, car il était évident qu’il s’en allait.

" Je vais vous lire, lui dis-je, une conversation que tint Jésus avec un homme qui désirait le salut de son âme. "

Et je commençai le chapitre 3 de l’Evangile de saint Jean.

Ses yeux étaient rivés sur moi et quand je vins aux versets 14 et 15, il m’arrêta à ces paroles :

" Comme Moïse éleva le serpent dans le désert, de même il faut que le Fils de l’homme soit élevé, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. "

- Est-ce que ces paroles sont là ? me demanda-t-il.

- Oui. - Lisez-les encore. "

J’obéis.

Il s’accouda sur sa couchette, et joignant les mains, il me dit :

" Cela est bon, ne voulez-vous pas les relire ? "

Je relus ce passage une troisième fois puis j’allais jusqu’au bout du chapitre.

Quand j’eus fini, je vis ses yeux fermés, ses mains toujours jointes, un sourire sur son visage !

Oh ! quelle lumière l’illuminait ! Quel changement !

Je vis ses lèvres s’agiter, et, penché sur lui, je l’entendis murmurer :

" Comme Moïse éleva le serpent dans le désert, de même il faut que le Fils de l’homme soit élevé, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. "

Il ouvrit les yeux et me dit : " c’est assez, ne lisez plus. "

Il vécut quelques heures encore, son cœur appuyé sur ces douces paroles, puis, dans l’un des chars de Jésus-Christ, il partit pour aller prendre sa place au royaume des cieux.

Peut-être parlé-je ici à un jeune homme, à une jeune fille qui, tout récemment, a vu mourir sa mère ; celle-ci en mourant lui a dit :

" Mon enfant, viens me rejoindre là-haut ! "

Et vous l’avez promis.

Mais vous ne la reverrez jamais, si vous ne naissez de nouveau.

Parents, si vous voulez revoir ces chers petits qui vous ont devancés, il vous faut naître de l’Esprit.

Peut-être y a-t-il parmi ceux qui me lisent, un père, une mère dont le fils unique est parti.

Si vous pouviez entendre la voix de ce bien-aimé, elle vous dirait : " Venez, venez ici ! "

Nos amis, nos parents, nos enfants, tous les bienheureux nous crient : " Venez, venez ! "

Pour les revoir et les rejoindre, il nous faut être né de nouveau.

Nous avons tous, là-haut, un frère aîné.

Il y a près de 1900 ans qu’il y est remonté, et du rivage céleste, il nous appelle aujourd’hui.

Tournons le dos au monde. Fermons-lui nos oreilles.

Regardons à Jésus sur la croix pour être sauvés.

Alors nous aurons l’assurance de voir un jour notre Roi dans sa gloire, et de la partager éternellement avec Lui.

D. L. MOODY – (Extraits de la clé du bonheur)

La foi et les oeuvres selon Luther

Ces lignes sont extraites de TROIS HISTOIRES SPIRITUELLES : Saint Augustin, Littré, Pascal, que M. Maury a publié il y a une vingtaine d’années.

La critique que Luther, le moine de Wittemberg a faite de l’effort méritoire, - ne l’oublions pas, c’était la critique de son propre cœur, - la rigueur avec laquelle il s’est refusé à revenir sur ses condamnations, les formules qu’il reprend sans cesse et notamment celle-ci :

" Le chrétien, toujours pécheur, toujours juste, toujours pénitent " et le paradoxe célèbre de sa lettre à Mélanchton :

" Sois pécheur et pèche fortement, " tout cela a permis à des adversaires acharnés ou à des critiques peu avertis d’imaginer que Luther donnait licence au chrétien de s’abandonner et de mener en bonne conscience une vie de capitulations.

Que c’est mal connaître celui qui jusqu’à la fin restera hanté par la sainteté, donnant toute sa vie avec une ardeur qui ne se dément pas !

Si Luther condamne les œuvres, et même s’il les haît, c’est dans la seule mesure où celles-ci prétendent à nous assurer un salut qui ne peut venir que de Dieu seul, c’est quand, orgueilleuses, elles nous procurent une fausse sécurité.

Les œuvres n’ont aucune puissance pour nous sauver.

Il faut le dire, le redire.

Elles n’obtiendraient la justice que pour un être déjà saint.

Mais mortelles quand on les accomplit pour gagner son salut, trompeuses quand on se fie à elles, elles deviennent non seulement légitimes, mais indispensables, davantage, inévitables, mieux encore, chères, précieuses, quand c’est la foi qui les suscite, quand elles jaillissent de la gratitude du cœur croyant.

Quand on les fait non pas pour en tirer profit, mais parce qu’on ne peut pas ne pas exprimer par elles son amour, quand on les oublie à mesure que Dieu nous aide à les accomplir.

Qu’on relise les pages de ce petit livre admirable qui s’appelle : La Liberté chrétienne, et que Luther composa au moment de ses plus grands combats et qu’on y entende cette glorification des œuvres (comme il le dit lui-même) sans lesquelles toutes nos croyances sont des mensonges.

Voulez-vous un résumé de sa pensée sur ce point ?

Il est dans cette formule lapidaire : " Ce ne sont pas les bonnes œuvres qui font l’homme bon, c’est l’homme bon qui fait les bonnes œuvres. "

Ce qu’il veut, ce grand tourmenté, c’est d’avoir au moins Dieu pour assurer son cœur, mais ce qu’il aime, c’est, à la gloire de ce Dieu incroyable, offrir toute sa vie.

Foi et Vie

La marque de l'Esprit

Voici un serviteur de Dieu qui s’adresse à un auditoire : d’où vient que sa parole a soudain la vertu d’émouvoir et de réveiller, alors que le même homme, il n’y a pas longtemps, tout en apportant les mêmes arguments et en plaidant avec peut-être plus de conviction encore, n’arrivait à rien ?

Pourquoi aujourd’hui, sans faire d’effort et sans élever la voix, manie-t-il la parole avec cette précision, cette pénétration, cette efficacité qui vont droit au but, alors que l’autre jour ses démonstrations serrées laissaient les gens dans une paix aussi solennelle que la mort elle-même ? …

C’est qu’entre temps, cet homme a reçu le baptême du Saint-Esprit.

Désormais, quand il annonce Jésus-Christ ou quand il explique l’Ecriture Sainte, il se passe quelque chose qu’on ne peut pas attribuer à la substance ni à la forme de son exposé, quelque chose cependant, qui, sans qu’on sache d’où cela vient, vous remue le cœur, tantôt avec une extraordinaire douceur, tantôt avec une rare violence : c’est la marque de l’Esprit.

Quand elle est là, on dirait que la vérité qu’on entend est toute imprégnée de l’énergie même de Dieu !

C’est comme si Dieu lui-même était présent dans cette vérité-là.

Charles Studd appelait cela la dynamite spirituelle !

Quel feu ! Quelle liberté ! Quelle pureté de sentiments et quelle simplicité !

Quelle habileté étrange pour aller juste au point faible et révéler à l’âme sottement sereine et satisfaite, sa misère et sa nudité !

On confond souvent la ferveur avec la marque de l’Esprit.

Elles se ressemblent, c’est vrai.

Mais l’œil spirituel apprend à les distinguer l’une de l’autre.

L’une procède de la bonne volonté ; elle agit avec ardeur, elle sait émouvoir aussi et plaire, à l’occasion ; cependant sa puissance ne dépasse pas celle de l’homme, car c’est l’homme qui est dedans.

C’est l’homme avec son cœur, sa pensée, voire son génie, mais c’est lui, ce n’est pas Dieu.

L’autel qu’il bâtit est l’œuvre de deux mains d’homme, et le feu qu’il y met ne fait étinceler que des flammes humaines.

Dans l’autre, c’est le contraire : l’homme s’est effacé et c’est Dieu qui est là.

La marque de l’Esprit ne s’acquiert pas par les voies ordinaires de l’étude et elle n’est pas davantage le fruit de l’exaltation.

Elle est l’émanation de l’Esprit Saint.

Celui qui la veut doit rentrer dans sa chambre, fermer la porte derrière lui et prier son Père qui est là, dans le secret, et lui dire :

" Père ! je ne te laisserai pas que tu ne m’aies baptisé de feu ! "

Le rite, l’imposition des mains d’un homme si puissant soit-il en Esprit ne sont pas, en eux-mêmes, suffisants : il faut que Dieu intervienne en personne et que son propre sceau s’imprime sur son enfant.

Heureux celui qui persévère et qui lutte, quitte à verser des larmes et à serrer les dents, jusqu’à ce que la plénitude de Dieu soit venue sur lui !

Que d’autres déploient leur ferveur, que leur pensée ou leur génie fassent impression sur les foules, tout cela est peut-être bel et bon…

Mais seule la parole qui aura la marque de l’Esprit sera capable d’éveiller l’Espérance au cœur des désolés et de rendre à la liberté et à la Vie les blessés et les perdus de l’esprit, de l’âme et du corps.

E. DALLIERE (d’après un tract américain)

Des soucis en pensant à l'hiver

Par un beau soir d’automne, une jeune femme était venue s’asseoir devant sa petite maison et était très occupée à coudre, préparant un vêtement pour son enfant, le petit Charles.

Son mari avait pris place près d’elle pour jouir d’un repos bien mérité après une pénible journée de travail.

- Que ferons-nous, Henri, pour arriver à nouer les deux bouts, subvenir à nos besoins, quand l’hiver sera là ? Nous avons déjà assez de peine à tourner pendant l’été ! Qu’en adviendra-t-il maintenant ?

Le mari fit à sa femme une réponse étonnante.

- Quel travail de couture fais-tu là, chère femme ?

- Un vêtement d’hiver pour notre garçon !

- En y pensant, je me dis : Le jeune enfant le sait-il ?

- Assurément pas !

- Ne devrais-tu pas le lui dire, pour mettre un terme à ses soucis, à la pensée de l’hiver qui vient ?

- Où veux-tu en venir ? Pourquoi se mettrait-il en souci ! Ne le vois-tu pas, il est tout le jour aussi heureux qu’un petit oiseau ; et s’il lui arrivait de se soucier de l’hiver, il mettrait alors son attente, toute sa confiance en sa maman, de laquelle il attend les vêtements qui lui sont nécessaires.

- Tu crois donc cela ? Notre garçon est ainsi plus sage et judicieux que sa mère !

Les yeux de la jeune femme se remplirent alors de larmes.

Les brouillards qui avaient plané sur son foyer et sur sa vie de famille se dissipèrent, chassés qu’ils étaient par la confiance de cet enfant en la protection paternelle et fidèle de ses parents.

" Dieu sait ce dont nous avons besoin " (Matthieu, chapitre 6, verset 32).

La jeune hirondelle

Une jeune hirondelle, voyant des fourmis très laborieusement occupées, leur demanda le but de leur travail.

Nous faisons nos provisions pour l’hiver.

C’est fort sage, dit l’hirondelle, je vais faire comme vous.

Aussitôt, elle se mit à chercher des araignées mortes et des mouches, et à les amonceler dans son nid.

Que veut dire ceci ? demanda sa mère, étonnée de la voir si active.

Chère mère, répondit la jeune hirondelle, j’amasse pour l’hiver ; faites comme moi, les fourmis m’ont appris à agir ainsi.

Mon enfant, laisse ces soins aux fourmis, qui n’ont pas des ailes comme nous.

La bonté du Créateur nous a préparé un sort plus heureux que le leur.

Quand l’été sera près de finir, nous quitterons ces lieux et nous nous dirigerons vers des contrées où nous ne souffrirons ni du froid, ni de la faim.

Et nous aussi, nous ne sommes pas à toujours des habitants de la terre.

Nous sommes destinés à devenir habitants des cieux.

Ne nous laissons donc pas absorber par les soucis d’ici-bas, n’amassons pas des trésors qui périssent : exerçons nos ailes, et affectionnons-nous aux choses qui sont en haut !

Un athée embarrassé

Un athée vint un jour donner une conférence antireligieuse dans un village du nord de l’Angleterre.

Quand il eut fini, il demanda à ses auditeurs s’ils avaient des objections à lui présenter.

Il eu un moment de silence, puis l’on vit arriver une pauvre vieille femme habillée à l’ancienne mode et qui dit :

- Monsieur, je désire seulement vous poser une question. Il y a dix ans, je devins veuve avec huit enfants à nourrir et sans autres ressources que cette Bible.

Je demandai à Dieu de me venir en aide, et je fus en état de donner du pain à tous les miens.

Maintenant ma fin approche, mais je me sens parfaitement heureuse, car je me prépare à vivre éternellement avec Jésus dans le ciel.

Voilà ce que ma foi a fait pour moi. Et votre incrédulité, qu’a-t-elle fait pour vous ?

- Ma bonne dame, reprit l’orateur, je ne veux pas vous enlever votre consolation.

- Oh ! dit-elle, ce n’est pas de cela qu’il s’agit. Je vous demande seulement ce que votre incrédulité a fait pour vous.

L’athée chercha une échappatoire, mais les assistants applaudirent son interlocutrice avec tant d’énergie et tant de sympathie qu’il jugea plus prudent de s’esquiver.

L’appel du Christ

L’appel de Christ c’est de nourrir les affamés, non pas les repus, de sauver les perdus, non pas ceux qui ont le cou raide ; d’appeler à la repentance les pécheurs, non pas les moqueurs ; ce n’est pas de construire et d’aménager confortablement des chapelles, des églises ou des cathédrales dans la métropole et d’y bercer des chrétiens-de-nom au moyen de discours savants, de prières stéréotypées ou de beaux récitals de musique.

Mais de dresser parmi les malheureux des églises d’âmes vivantes, de sauver des hommes des griffes du Démon, de les arracher aux mâchoires mêmes de l’Enfer, pour les enrôler au service de Jésus, les entrainer, et en faire la Toute-Puissante Armée de Dieu !

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